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Transports routiers au Mali : Qui veut la peau de Youssouf Traoré ?
Publié le mardi 28 avril 2015  |  La Revelation




A la suite de la mise en place des membres du Conseil malien des transports routiers, Youssouf Traoré, PDG de la compagnie Bani Transports a été élu comme président, en 2009.

Depuis cette date jusqu’à nos jours, des individus mal intentionnés sont entrain de tout mettre en œuvre pour saboter son travail ou pour lui causer des ennuis. Ainsi, le président du CMTR Youssouf Traoré a été l’objet d’un harcèlement sans précédent à travers des plaintes , sans objet , déposées un peu partout (même souvent au sein des structures qui n’ont rien avoir avec le transport), des mensonges grotesques de détournement d’argent montés de toute pièce pour ternir son image et la dernière en date est le préavis de grève avec faux et usage de faux , adressé à des hautes autorités et qui visait à paralyser le pays, le 14 avril dernier. Toutes ces tentatives mafieuses ayant échoué, les frondeurs, aujourd’hui, semblent être mis dans leurs petits souliers.

En témoigne l’élection des membres de la chambre consulaire qui vient de se dérouler le samedi 25 avril, sans incidents. Pour trouver un interlocuteur entre le monde des transporteurs et le gouvernement, ce dernier a créé le Conseil malien des Transports Routiers (CMTR). Lors de l’élection du bureau, Youssouf Traoré sera élu président en 2009.

Depuis son élection à la tête du CMTR, certains individus mal intentionnés, notamment Adama Coulibaly, baba Coulibaly, Amadou Traoré et leur mentor Sidi Moctar Théra ont essayé toujours de faucher l’herbe sous ses pieds. Ces individus mal intentionnés, dont certains ne possèdent même pas un taxi, et qui vivaient des ristournes de la vente de billets, ont pris flûtes et trompettes pour entamer une campagne médiatique calomnieuse et tendancieuse afin de mettre le bâton dans la roue du CMTR, discréditer son président et semer la zizanie entre les transporteurs. Malgré un bilan élogieux, il devient, pour certains transporteurs, l’ennemi à abattre.

Le dernier en date est le préavis de grève déposé afin de paralyser le pays. N’ayant personne derrière eux, cette tentative sera un échec cuisant, car la grève a été boycottée presqu’à 100% par les transporteurs. Pour laver l’affront, masquer la déculottée, les frondeurs n’ont trouvé d’autre chose que d’organiser un carnaval de la honte au stade du 26 mars. C’est ainsi que des grévistes humiliés se sont improvisés en farceurs, musiciens et chanteurs pour jouer des tam-tams, des djembé, balafons, la comédie etc. Le constat est que les frondeurs n’ont aucune base. Mieux, pour étoffer la liste de signataires du préavis de grève, les noms de beaucoup d’associations, de syndicats ou de compagnies ont été inscrits frauduleusement sans leur consentement. Toujours, est-il que des raisons fallacieuses ont été évoquées pour justifier la grève. Mais il nous revient que les vraies raisons restent inavouées.

Primo, il s’agit d’une question de personne, c'est-à-dire mettre tout en œuvre pour faire tomber le président Youssouf Traoré. Secundo, la plupart des frondeurs ne sont pas des transporteurs et ceux qui en sont ne sont pas en règle pour s’inscrire sur la liste de l’élection de la chambre consulaire des transporteurs. Eliminés d’emblée par leur propre faute, pris dans leur propre piège, ces gens ne pouvaient que de pousser des cris d’orfraie. Moussa Diarra Email : redactionlarevelation@yahoo.fr

Depuis cette date jusqu’à nos jours, des individus mal intentionnés sont entrain de tout mettre en œuvre pour saboter son travail ou pour lui causer des ennuis. Ainsi, le président du CMTR Youssouf Traoré a été l’objet d’un harcèlement sans précédent à travers des plaintes , sans objet , déposées un peu partout (même souvent au sein des structures qui n’ont rien avoir avec le transport), des mensonges grotesques de détournement d’argent montés de toute pièce pour ternir son image et la dernière en date est le préavis de grève avec faux et usage de faux , adressé à des hautes autorités et qui visait à paralyser le pays, le 14 avril dernier. Toutes ces tentatives mafieuses ayant échoué, les frondeurs, aujourd’hui, semblent être mis dans leurs petits souliers. En témoigne l’élection des membres de la chambre consulaire qui vient de se dérouler le samedi 25 avril, sans incidents.

Pour trouver un interlocuteur entre le monde des transporteurs et le gouvernement, ce dernier a créé le Conseil malien des Transports Routiers (CMTR).

Lors de l’élection du bureau, Youssouf Traoré sera élu président en 2009. Depuis son élection à la tête du CMTR, certains individus mal intentionnés, notamment Adama Coulibaly, baba Coulibaly, Amadou Traoré et leur mentor Sidi Moctar Théra ont essayé toujours de faucher l’herbe sous ses pieds. Ces individus mal intentionnés, dont certains ne possèdent même pas un taxi, et qui vivaient des ristournes de la vente de billets, ont pris flûtes et trompettes pour entamer une campagne médiatique calomnieuse et tendancieuse afin de mettre le bâton dans la roue du CMTR, discréditer son président et semer la zizanie entre les transporteurs. Malgré un bilan élogieux, il devient, pour certains transporteurs, l’ennemi à abattre. Le dernier en date est le préavis de grève déposé afin de paralyser le pays.

N’ayant personne derrière eux, cette tentative sera un échec cuisant, car la grève a été boycottée presqu’à 100% par les transporteurs. Pour laver l’affront, masquer la déculottée, les frondeurs n’ont trouvé d’autre chose que d’organiser un carnaval de la honte au stade du 26 mars. C’est ainsi que des grévistes humiliés se sont improvisés en farceurs, musiciens et chanteurs pour jouer des tam-tams, des djembé, balafons, la comédie etc.

Le constat est que les frondeurs n’ont aucune base. Mieux, pour étoffer la liste de signataires du préavis de grève, les noms de beaucoup d’associations, de syndicats ou de compagnies ont été inscrits frauduleusement sans leur consentement.

Toujours, est-il que des raisons fallacieuses ont été évoquées pour justifier la grève.

Mais il nous revient que les vraies raisons restent inavouées. Primo, il s’agit d’une question de personne, c’est-à-dire mettre tout en œuvre pour faire tomber le président Youssouf Traoré. Secundo, la plupart des frondeurs ne sont pas des transporteurs et ceux qui en sont ne sont pas en règle pour s’inscrire sur la liste de l’élection de la chambre consulaire des transporteurs. Eliminés d’emblée par leur propre faute, pris dans leur propre piège, ces gens ne pouvaient que de pousser des cris d’orfraie.

Moussa Diarra
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