Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratiques    Le Mali    Publicité
aBamako.com NEWS
Comment

Accueil
News
Société
Article
Société

Meeting pour la Paix : Les vérités de Mohamed Ag Hamani
Publié le mardi 5 mai 2015  |  journaldumali.com
Meeting
© aBamako.com par A.S
Meeting de la plate forme de la société civile.
Bamako, le 02 mai 2015 la Plateforme des organisations de la société civile a organisé un meeting au stade omnisport




Pour l'ancien Premier ministre, « La situation au Mali est un problème géostratégique politique entretenue par certaines puissances internationales »

Pour Mohamed Ag Hamani, ancien premier ministre, le problème du nord Mali est un problème géostratégique et politique entretenu par une certaine communauté internationale. Ag Hamani s’insurge contre l’esprit communautariste qui alimente le germe de la partition du Mali. «Le Mali est un pays arc-en-ciel. Partout dans notre pays, on trouve des bambaras, des sénoufos, des sonrhais, des touaregs et des peulhs qui vivent ensemble ». De son côté, Mahmmoud Dicko, "le sang des Maliens A assez coulé. Le peuple malien a assez souffert. L’heure est au pardon et à la paix. Je lance un appel pressant à nos frères doivent raison savoir garder». Il en est de même pour le représentant de la communauté chrétienne, Msr Jean Zerbo, qui appelé les frères des groupes armés à embarquer dans le bateau de la paix pour un Mali uni.

La société civile unie pour la paix
Quand au président de la plateforme de la société civile, Ousmane Madani Chérif Haidara, un mauvais accord vaut mieux que la partition du Mali. « Aujourd’hui, il n'est ni question de l’opposition ni de la majorité, mais il s’agit surtout de sauver le Mali ». Avant, le président du Conseil National de la Jeunesse, Mohamed Salia Touré a fustigé la recrudescence des violences au nord et l'exigence de la médiation à déloger le Gathia de Ménaka au profit de la CMA. Ce qui fait dire au représentant de la communauté arabe et non moins membre du Gatia que "les groupes armés de la CMA ont été les premiers à violer le cessez-le-feu du 21 mai pour s’installer à Ménaka. «La ville de Ménaka a été libérée par ses propres fils » conclut-il.
Par Modibo FOFANA - journaldumali.com
Source: Jounal du Mali
Commentaires