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Choguel Kokala Maïga à propos des mises au point d’IBK le 15 mai dernier : « Le président de la République a dit le ressentiment profond des Maliens »
Publié le mardi 19 mai 2015  |  Le Tjikan
6ème
© aBamako.com par Dia
6ème Reunion du Comite des Régulateurs Nationaux des Télécommunications de l`UEMOA (CRTEL)
Bamako, le 21 au 22 octobre 2013 à l`hôtel Radisson Blu. Jean Marie Sangaré, Ministre malien de la communication et des nouvelles technologies de l`information a présidé la cérémonie d`ouverture des travaux de la 6ème Reunion du Comite des Régulateurs Nationaux des Télécommunications de l`UEMOA (CRTEL). Photo: Choguel kokalla Maiga, DG du CRTEL




Le ministre de l’Economie Numérique, de l’Information et de la Communication, porte-parole du Gouvernement, Dr Choguel Kokala Maïga était, le dimanche 17 mai dernier sur le plateau de l’ORTM au cours de l’édition de 20h pour taire tout amalgame sur les propos du président de la République lors de la cérémonie de signature de l ‘Accord de paix et de la Réconciliation sur le rôle de la Minusma. Selon lui, IBK n’a fait que dire le ressentiment profond des Maliens.

Au cours de son intervention lors de la cérémonie de signature de l’Accord de paix et de réconciliation nationale vendredi 15 mai dernier en présence d’autres chefs d’Etats, le président de la République du Mali a répondu à Hervé Ladsous, Chef des opérations de maintien de la paix des Nations Unies au Mali, qui, dans son discours avait mis en garde le Mali en indiquant que « cette signature ne doit pas être un prétexte pour attaquer la partie qui n’a pas signé. ».

En réponse à ces propos discourtois d’Hervé Ladsous, IBK demanda d’abord la neutralité de la Minusma et le minimum de respect envers le Mali et le peuple malien. Il ajoutera que le peuple malien et le Mali méritent plus d’égard et de respect de la part de la force onusienne. Avant de rappeler la situation intenable des soldats maliens qui étaient cantonnés à Kidal sous le regard indifférend de la Minusma. Et d’indiquer que le Mali a toujours respecté ses engagements dans ce processus de paix et n’a aucunement besoin de recevoir de leçons dans ce sens.

Des vérités toutes crues de la part du chef de l’Etat qu’Hervé Ladsous n’a pas pu digérer. Car quelques jours après, le Chef des opérations de maintien de la paix des Nations Unies au Mali, après avoir fait un communiqué, a animé une conférence de presse à travers lesquels, il indique que le Mali n’a pas été suffisamment reconnaissant des nombreux efforts fournis par la force la force onusienne au Mali et la communauté internationale.

C’est dans le but d’éviter tout amalgame autour des propos du président de la République que le Porte-parole du Gouvernement Choguel Kokala Maiga était le dimanche 17 mai denier, l’invité du journal de 20H. Lors de son intervention, le ministre porte-parole du gouvernement a été formel : « le Président de la République, Ibrahim Boubacar Keita a dit tout haut le ressentiment profond des Maliens ".

Et le ministre de rappeler l’ensemble des sacrifices que le Mali a fait en respectant ses engagements comme laisser son armée cantonnée contrairement à l’autre partie qui continuait à violer le cessez-le-feu en terrorisant les paisibles citoyens, en attaquant l’armée sur plusieurs fronts sous le silence total de la communauté internationale. Selon lui, le président de la République a agi comme tous les Maliens le voudraient.

A l’en croire, s’il n’avait pas parlé ainsi, les Maliens ne se reconnaitraient point dans son discours. Le Porte-parole du gouvernement tout comme IBK a reconnu le rôle et les efforts fournis par communauté internationale pour le Mali. Avant d’appeler les uns et les autres à éviter tout amalgame selon lequel, le Mali n’est pas reconnaissant des efforts de la communauté internationale.

Pour le ministre de la Communication, ce qui est important en ce moment, c’est la mise en œuvre de l’accord qui doit consister à cantonner ceux veulent la paix et prendre des dispositions contre ceux qui refusent cette mesure. Il a terminé son intervention en appelant la CMA qui a fait le premier pas avec le paraphe de l’accord à signer cet accord de paix et de réconciliation nationale. Ce qui serait un grand pas vers la paix. Modibo Dolo

Choguel Kokalla MAIGA
Choguel Kokalla Maïga
Au cours de son intervention lors de la cérémonie de signature de l’Accord de paix et de réconciliation nationale vendredi 15 mai dernier en présence d’autres chefs d’Etats, le président de la République du Mali a répondu à Hervé Ladsous, Chef des opérations de maintien de la paix des Nations Unies au Mali, qui, dans son discours avait mis en garde le Mali en indiquant que « cette signature ne doit pas être un prétexte pour attaquer la partie qui n’a pas signé. ».

En réponse à ces propos discourtois d’Hervé Ladsous, IBK demanda d’abord la neutralité de la Minusma et le minimum de respect envers le Mali et le peuple malien.

Il ajoutera que le peuple malien et le Mali méritent plus d’égard et de respect de la part de la force onusienne. Avant de rappeler la situation intenable des soldats maliens qui étaient cantonnés à Kidal sous le regard indifférend de la Minusma. Et d’indiquer que le Mali a toujours respecté ses engagements dans ce processus de paix et n’a aucunement besoin de recevoir de leçons dans ce sens.

Des vérités toutes crues de la part du chef de l’Etat qu’Hervé Ladsous n’a pas pu digérer. Car quelques jours après, le Chef des opérations de maintien de la paix des Nations Unies au Mali, après avoir fait un communiqué, a animé une conférence de presse à travers lesquels, il indique que le Mali n’a pas été suffisamment reconnaissant des nombreux efforts fournis par la force la force onusienne au Mali et la communauté internationale.

C’est dans le but d’éviter tout amalgame autour des propos du président de la République que le Porte-parole du Gouvernement Choguel Kokala Maiga était le dimanche 17 mai denier, l’invité du journal de 20H. Lors de son intervention, le ministre porte-parole du gouvernement a été formel : « le Président de la République, Ibrahim Boubacar Keita a dit tout haut le ressentiment profond des Maliens « .

Et le ministre de rappeler l’ensemble des sacrifices que le Mali a fait en respectant ses engagements comme laisser son armée cantonnée contrairement à l’autre partie qui continuait à violer le cessez-le-feu en terrorisant les paisibles citoyens, en attaquant l’armée sur plusieurs fronts sous le silence total de la communauté internationale.

Selon lui, le président de la République a agi comme tous les Maliens le voudraient. A l’en croire, s’il n’avait pas parlé ainsi, les Maliens ne se reconnaitraient point dans son discours.

Le Porte-parole du gouvernement tout comme IBK a reconnu le rôle et les efforts fournis par communauté internationale pour le Mali. Avant d’appeler les uns et les autres à éviter tout amalgame selon lequel, le Mali n’est pas reconnaissant des efforts de la communauté internationale.

Pour le ministre de la Communication, ce qui est important en ce moment, c’est la mise en œuvre de l’accord qui doit consister à cantonner ceux veulent la paix et prendre des dispositions contre ceux qui refusent cette mesure.

Il a terminé son intervention en appelant la CMA qui a fait le premier pas avec le paraphe de l’accord à signer cet accord de paix et de réconciliation nationale. Ce qui serait un grand pas vers la paix.

Modibo Dolo
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