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Propos mémorables : Feu Mohamed Lamine Traoré, Vice-Président de l’ADEMA-PASJ sept 1994
Publié le samedi 8 decembre 2012  |  Le 26 Mars




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Propos mémorables :

Feu Mohamed Lamine Traoré, vice-président de l’Adema-Pasj :

« A ceux qui souhaitent dans la jubilation secrète que l’ADEMA éclate et ceux qui, dans un tremblement inquiet, craignent qu’il n’éclate pas, je dirai, l’ADEMA n’éclatera pas. A moins que les frelons n’envahissent la ruche, en chassant les abeilles ».

Me Mountaga Tall, Président du CNID 1997

« Un proverbe bambara tranche : que tout le monde se ligue derrière un seul homme, traduit toute la culpabilité de cet homme ».

Thierno Hady Thiam (prêcheur) 1999

« Le drame de l’islam au Mali, c’est que les leaders islamiques se sont préoccupés de problèmes d’homme à homme plutôt que de Dieu. Quand l’amour de ce bas monde prédomine, quand la crainte de la pauvreté assaille, alors le vrai message de l’islam est terni ».

Moussa Traoré, (ex-chef de l’Etat) 1999

« Au procès crimes politiques, on n’a pas pu démontrer que j’ai donné l’ordre de tirer sur la foule et au procès pour crimes économiques, on n’a trouvé nulle part la trace des prétendus milliards de dollars que j’aurais détournés ».

Ibrahim Traoré, Directeur de Publication Le Républicain Mai 1999

« Qu’on l’aime, qu’on le haïsse, importe peu. Le Président Alpha Oumar Konaré, au cours de son mandat, a fait preuve d’une humilité déconcertante et d’un sens de l’Etat dont on trouverait difficilement la réplique ailleurs sur le continent ».

Adama Thiam, chroniquer journal Le Républicain 1999

« Que le MPR mesure seulement l’offre de liberté dont il profite aujourd’hui par rapport à un passé pas si lointain où, il n’y avait pas d’alternative au caporalisme. Que beaucoup d’eau a coulé sous les points. Et que, quelque grande que soit la distance jusqu’au paradis, la descente aux enfers du pays est bien finie ».

Soumeylou Boubèye Maïga (2000)

« Les causes profondes de la déchirure des partis et de la grande confusion politique actuelle sont dues au fait qu’au lendemain du 26 Mars, des gens qui ne devraient jamais se retrouver dans le même camp ont été mis ensemble ».

Choguel Maïga, Secrétaire général du MPR (Avril 2000)

« Les témoignages et les contributions lors des débats le 9 Avril 2000 ont présenté ATT comme un militant de longue date du Mouvement Démocratique. Dans un pays où la loyauté est élevée au rang de culte, est-ce rendre service à l’officier ATT que de le présenter systématiquement comme un opposant qui a su gagner l’admiration, la sympathie et la confiance du Président Moussa Traoré en attendant de l’abattre, le moment venu ? ».

Fatoumata Siré Diakité, Présidente de l’APDF (Février 2003)

« Je me sentirais frustrée d’envoyer mon enfant à l’école (NDLR : avec la pédagogie convergente) et qu’il vienne me dire, le matin, « Maman, ni sôkoma » (bonjour, Maman).

Professeur Yoro Diakité, Président du BARA 2003

« L’élection du Président du Parlement le 16 Septembre 2002 a fini de révéler toute la pourriture de la classe politique et sa capitulation devant l’envie gloutonne de partager le gâteau national. Car, des gens qui, hier encore se détestaient royalement comme des pots pourris, ont fini par s’entendre sur le dos du peuple ».

Général ATT Président de la République (Juin 2003)

Quelque soit votre volonté de lutter contre la corruption, si vous avez une justice qui ne soit suit pas , vous perdez votre temps. »

Boya Dembélé, Président du Tribunal de Première Instance de Koutiala, à l’occasion de la rentrée judiciaire 2003-2004 :

« Il est déplorable de constater que certains avocats, au mépris de la loi et de leur déontologie, s’adonnent à des négoces, entretiennent des rapports avec des partis adverses sur le dos de leurs clients ou prélèvent sur les sommes encaissées, le montant de leurs honoraires et même davantage, sans le consentement formel du client et sans autorisation du bâtonnier. En outre, à Bamako, nombre de citoyens se plaignent de ce que certains avocats se prévalent de leur qualité et de la difficulté de les attraire devant le juge pour refuser de payer les loyers des locaux abritant leurs études, si bien que, actuellement, un homme de droit, que vous soyez avocat, notaire, huissier ou magistrat, vous avez du mal à trouver un local à louer ».



Rassemblés par

Boubacar Sankaré

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