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Chambre de commerce et d’industrie du Mali ; Jeamille Bittar accusé de traiter des marchés de gré à gré
Publié le lundi 10 decembre 2012  |  Le Zenith Bale




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Avant même le verdict de la Cour suprême opposant le président Bittar et l’actuel gouvernement, certains proches de Jeamille l’accusent de complaisance. Ils lui reprochent d’avoir traité des marchés de gré à gré. Vrai ou faux, la vérité triomphera un jour.

Depuis son arrivée à la tête de la CCIM, le jeune Bittar est opposé à un collectif de vieux commerçants décidé à lui faire la peau. Aujourd’hui, à la fin de son mandat, il a été éjecté de la présidence pour un collège transitoire. Alors, bonjour les accusations.

De sources concordantes, il est indiqué que c’est Jeamille Bittar qui serait à la base de la grève avortée des détaillants des 3 et 4 décembre derniers. Ainsi, il est dit qu’il a traité des marchés au nom de la CCIM pour en être le principal bénéficiaire. Notamment avec Bakoré Sylla et Sran Traoré. A cet effet, il lui est reproché d’avoir détourné des centaines de millions de nos francs. Aussi, il est mis sur le ban des accusés de s’être entêté à s’opposer aux différents Ministres qui ont eu la chance d’occuper le fauteuil du ministère du Commerce et de l’Industrie. Et qu’il aurait à travers le Président ATT violé les textes de nomination des membres du Conseil économique social et culturel en se choisissant au détriment des membres du groupement à qui ceci est un droit inaliénable.

Pour le choix du collège, c’est un clash qui aurait mis le clan Bittar en minorité. Ce clash est venu de Sanou Sarr qui aurait compris que les tentatives de Bittar à s’opposer ne sont que de la poudre aux yeux. Ainsi, il s’est mis à la disposition du gouvernement pour répondre à l’appel du département.

Face à toutes ces accusations, des proches de Bittar indiquent qu’ils ne répliquent pas pour l’instant. Car, disent-ils, qui veut abattre son chien l’accuse de rage. Sinon, soutiennent-ils, Bittar n’a œuvré pendant tout son mandat qu’à la modernisation du secteur du commerce au Mali et à son développement. Ils s’étonnent donc d’entendre certains soutenir des infécondités, ils disent le ridicule ne tue plus au Mali.

En attendant que les choses s’éclaircissent, chacun peut méditer.

Abou BOLOZOGOLA

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