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Revue de la presse malienne
Publié le lundi 10 decembre 2012  |  Autre presse




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Des Bamakois ont marché samedi de la Place de la liberté au Monument de l'Indépendance pour dire à la Communauté internationale que les Maliens ne peuvent plus attendre pour la libération de leur pays Conseil de sécurité de l' ONU doit donner son feu vert à l' envoi d' une force militaire internationale dans notre pays dans les prochains jours. Une résolution est en cours de négociation et devrait être mise au vote avant le 21 décembre.Au moment où les discussions sont en cours autour de cette résolution, nos compatriotes sont plus que jamais impatients de voir le pays libéré des groupes islamistes et des narcotrafiquants qui occupent le Nord.Des Bamakois ont marché samedi pour réclamer le vote de la résolution du Conseil de sécurité de l'ONU. La marche est partie de la Place de la liberté aux environs de 10 heures pour aboutir au Monument de l' Indépendance. Les éléments des forces de l' ordre avaient été massivement déployés pour encadrer la manifestation. Les marcheurs constitués en majorité des jeunes scandaient en choeur le slogan "Libérez le Mali! Libérez le Mali !". Certains portaient des pancartes et des banderoles sur lesquelles on pouvait lire "Contribuer à la paix, c' est voter la résolution" ; "La guerre et pas de négociation avec les apatrides" ; "Nous soutenons notre armée. Le Mali n'est pas un jouet".

Le Républicain

A la une du républicain le déjeuner de presse organiser par l'amicale des anciens militants et sympathisants de l'Union nationale des élèves et étudiants du Mali (l' Amsuneem) a jugé utile d'organiser le vendredi 7 décembre un déjeuner de presse à son siège à la pyramide du souvenir. Le thème "la politique de la France au sahel" était au menu avec un invité spécial pour en discuter, de l'ambassadeur de France pour évoqué la politique de la France au sahel et le cas particulier du mali, Pendant une heure , M rouyer a entretenu l'auditoire sur la coopération entre les deux pays, le rôle qu'il est en train de jouer dans la crise. Le diplomate français n'a pas manqué de manqué de faire des révélations. Il est connu que la France puissance colonisatrice, est le premier donateur du Mali en matière de coopération bilatérale, le 3e sur le plan international après l'union européenne, l'ONU, la banque mondiale, etc..... il y a un maillage important de la coopération décentralisée entre les deux pays. L'aide humanitaire dans le cadre de la crise est maintenue en dépit de la suspension de l'aide bilatérale en raison de la rupture démocratique du fait du coup d'Etat militaire. Le diplomate français a tenu à rappeller tout ceci en guise d'introduction. Et que la France n'a envisagé en aucun moment de laisser le Mali dans l'adversité.

L'indépendant

Semaine des droits de l'homme au mali, l'appel de Amnesty internationale aux autorités du Mali à mettre fin auxc disparitions forcés, aux tortures, aux détentions arbitraires....La communication était présentée par le directeur de Amnesty Mali Saloum D Traore c' était jeudi à l' hôtel Laico Amitié, dans son exposé le directeur Amnesty à décrit un tableau sombre de la situation des droit de l' homme dans notre pays surtout en cette période de crise socio politique et sécuritaire. A cet égard, le conférencier a surtout regretté les violations flagrantes des droits de l' homme tant au nord sous occupation des groupes armés qu' au sud sous contrôle gouvernemental. Ces exactions, selon lui vont des amputations, aux châtiments corporels de violence sexuelle, jusqu' au aux exécutions extrajudiciaires et à l enrôlement d' enfants soldats. Quand au sud du pays Amnesty d écrit la situation des droits humains en ces termes. Après le coup d' Etat du 22 mars de nombreux responsables politique et militaires ont été arrêtés et détenus de manière arbitraire. La liberté de presse à été remise en cause suite à l'arrestation, l'enlèvement et les menaces dont ont fait l'objet des journalistes maliens et étrangers de la part d'individu armés, partisans présume de la junte militaire à expliqué le conférencier.

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