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ATT : un président milliardaire en fuite avec les fonds de Mouammar Kadhafi
Publié le mardi 11 aout 2015  |  L’Inter de Bamako
Amadou
© Autre presse
Amadou Toumani Toure
Le président déchu du mali




L’ancien président malien, Amadou Toumany Touré qui était devenu le trésorier et sur le point d’élire domicile en Libye à la fin de son mandat aurait fui avec une importante somme d’argent du guide. Ne sachant plus comment utiliser ces fonds, ATT aurait pris soins de les confier à des Maliens et une grande partie aurait été remise à deux présidents de la sous-région ouest africaine. Aussi ATT serait un grand propriétaire immobilier en Afrique de l’ouest.
Saviez-vous pourquoi les USA apportent leur soutien à Kagamé ?
Pour aider Paul Kagamé, l’administration Clinton, parfaitement au courant de ce qui se passe au Rwanda par les «sources humaines», par la CIA, la DIA et la NASA, décide de faire évacuer les Casques bleus après l’assassinat de dix d’entre eux, le 07 avril 1994, le lendemain de l’attentat qui a couté la vie à Juvénal Habyarimana. Boutros-Ghali, secrétaire général de l’ONU, a prévenu à plusieurs reprises Bill Clinton des risques de génocide ; la Maison Blanche, ajoutait Boutros-Ghali, en était d’ailleurs parfaitement informée par ses services secrets. Si les satellites-espions américains peuvent lire les plaques d’immatriculation des voitures, ils savaient certainement ce qui se passait au Rwanda.
La NSA avait même fourni un téléphone crypté à Paul Kagamé, qui lui permettait d’échanger en toute discrétion avec des responsables américains. Le code de ce téléphone aurait d’ailleurs été décrypté par les services français. Les Etats-Unis portent une lourde responsabilité dans le génocide des Tutsi et dans les massacres de masse d’Hutu pour avoir privilégié la victoire de Paul Kagamé pour avoir facilité le départ des Casques bleus et pour avoir refusé trop longtemps leur retour.
Saviez-vous pourquoi IBK a qualifié l’ex-président Moussa Traoré de Républicain ?
Le copain d’enfance d’Ibrahim Boubacar Kéita, Toumani Djimé Diallo (sa conscience) est l’auteur d’un ouvrage intitulé : Moussa Traoré : le président qu’il faut pour le Mali. Dans cet ouvrage Tom (pour les amis) fait l’éloge de l’ancien dictateur président malien.
Lorsque IBK dit publiquement que Moussa Traoré est un républicain, c’est une déclaration de Toumani Djimé Diallo. Dès l’élection d’IBK à la magistrature suprême, le livre de Tom sur la vie et l’œuvre de Moussa Traoré a disparu des librairies et mêmes des bibliothèques. Selon certaines indiscrétions Moussa Traoré serait affilié à la famille maternelle du président IBK (Konimba Traoré).
Abdoulaye Wade : un ancien président milliardaireà la retraite
L’ancien président sénégalais Abdoulaye Wade est un ancien président milliardaire à la retraite dorée sauf que son fils Karim est en prison. Père de deux enfants (Karim et Syndiély), il ne cache ni l’étendue, ni la provenance de son patrimoine : des appartements à Besançon, un studio à Paris, une demeure à Versailles.
Un commerçant soninké propriétaire de 100 maisons à Bamako
Un «Youko» (un jeune soninké) parti très tôt en pérégrination pour faire fortune. Revenu, il s’installa confortablement à Bamako avec sa fortune pour se tailler une place de notoriété. Cette place, Youko l’a eu l’aura en achetant des parcelles ou des maisons. Aujourd’hui, il est propriétaire de 100 maisons à Bamako dont le siège de la CENI à Bamako en Commune I. Un important patrimoine que Youko va léguer à ses nombreux enfants.
POINT DE MIRE
Connaissez-vous le terme Hova ?
Terme utilisé à l’époque coloniale et par beaucoup d’historiens pour désigner globalement les Merina vivant dans l’Imerina sur les hauts plateaux de Madagascar. Localement, il servait à distinguer les gens du commun des Andriana, l’aristocratie locale se donnant une origine indonésienne. Certains clans Hova prestigieux, comme les Tsimahafotsy et les Tsimiamboholahy, descendraient des anciens souverains intégrés au royaume par les Andria à l’issue d’un accord obligeant le roi à prendre comme Premier ministre un membre Hova de l’un de ces clans.
IL A DIT :
«Quand j’ai demandé à Kagamé d’aller directement à Kigali pour arrêter les massacres des Tutsi, il m’a répondu que s’il y avait un prix à payer, ce serait à ces Tutsi de le payer !», Général Dallaire, commandant des forces de la MINUAR, dans son livre «J’ai serré la main du diable».
SAGESSE BAMBARA :
«Un «to» chaud est meilleur (vaut mieux) dans la bouche de l’étranger qu’une parole chaude, qu’une conversation animée. (Je vis de bonne soupe et non de beau langage).»
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