Accueil    Shopping    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Mali    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Société
Article



 Titrologie



Le Flambeau N° 115 du

Voir la Titrologie

  Sondage

 Autres articles


Comment

Société

ENI ABT : Le CPS autorise la rentrée, le gros des enseignants observe la grève
Publié le mercredi 9 janvier 2013  |  Le Flambeau


Début
© aBamako.com par as
Début de session d`examen dans les Universités du Mali.
Mardi 7 aout 2012. Bamako. Faculte des Sciences Economiques et de Gestion. 30.000 etudiants ont débuté les sessions d`examen le 6 aout sur 8 sites. Le ministre de l`Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Pr Harouna Kante a visité les différents centres.


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Les effets collatéraux de la grève illimitée des syndicats d’enseignement supérieur n’épargnent apparemment aucune structure universitaire. Selon le Directeur Général de l’ENI, M. Mamadou Sanata Diarra, il est impératif pour son école d’effectuer au moins 32 semaines de cours pour valider l’année universitaire. Au rythme où vont les choses, force est de constater que cette année ne sera pas vacance à Hawaï pour l’école nationale des ingénieurs et tous ses acteurs.

A l’Ecole Nationale d’Ingénieurs Abderrahmane Baba Touré de Bamako, les cours ont débuté depuis le mercredi 2 janvier dernier. La décision autorisant la rentrée universitaire a été prise à l’issue de la session ordinaire du Conseil Pédagogique et Scientifique (CPS) du lundi 17 décembre 2012. En fait, Il a été décidé d’ouvrir les portes de l’école des ingénieurs et cela, malgré la grève du CEN-SNESUP. Et il va sans dire qu’entre le gouvernement et le syndicat National de l’enseignement supérieur, le dialogue de sourds n’est pas loin en ce sens qu’aucune des deux parties n’est prête à céder la place dans ses positions. Selon le directeur de l’école, M. Mamadou Sanata Diarra : «Pour pouvoir valider l’année universitaire 2012-2013, il nous faut au moins 32 semaines de cours. Certains de nos professeurs sont au cœur de la grève et cela nous préoccupe beaucoup. Jusqu’à présent, environ la moitié des copies du concours d’entrée à l’école n’ont pas été corrigées. Mais nous sommes entrain de nous battre nuit et jour pour qu’une solution soit vite trouvée».

DRISSA KANTAO

 Commentaires