Réunis vendredi à N'Djamena, les chefs d'État du G5 du Sahel (Burkina Faso, Niger, Tchad, Mali, Mauritanie) ont annoncé la mise en place prochaine de plusieurs mesures fortes comme la création d'une force conjointe régionale. Un sommet qui s'est déroulé alors que Bamako était victime d'une attaque terroriste d'envergure.
Critiqué par certains pour son inefficacité, le G5 Sahel a-t-il vécu « un tournant décisif », comme l’a déclaré vendredi 20 novembre le président tchadien Idriss Déby Itno, nouveau président en exercice de l’organisation régionale regroupant le Tchad, le Niger, la Mauritanie, le Burkina Faso et le Mali ?
... suite de l'article sur Jeune Afrique