“L’homme africain n’est pas suffisamment rentré dans l’histoire”, Nicolas Sarkozy dixit.
Un promotionnaire et ami Mamadou Massamba Kéita me disait souvent que pendant la période coloniale, les analphabètes et ceux qui n’étaient pas allés à l’école avaient droit de pardon sur certaines infractions de simple police commises.
Du conflit libyen (15 février 2011-23 octobre 2011) ayant occasionné la mort du Guide libyen Mouammar Kadhafi au terme d’une funeste chasse “tropicale” à la battue, il a été dénombré 60 000 morts (source : Le Grand Soir info), 30 000 bombes larguées, de 8000 raids aériens de la coalition internationale avec une moyenne de 200 bombes par jour pendant 6 mois.
De la destruction de dépôts d’explosifs et de munitions libyens, aucun chiffre n’a été avancé. Mais selon les ouï-dire représenterait une quantité exponentielle pour qui aurait connu le Guide pour sa manie des armes.
Des bombes, tout y passait, des explosifs périmés, dépassés d’un autre âge avoisinant le TNT (trinitrotoluène), l’agent orange, le napalm aux récentes générations de bombes : peroxyde, TATB, Cl-20 et le Nano-RDX qui de, petites charges sont comparables aux tonnes de TNT.
D’une ancienne sagesse de nations : “Science sans conscience n’est que ruine de l’âme” qui aujourd’hui se confirmerait “ruines de l’humanité”.
De la découverte de la poudre noire (220 avant J-C) et du souffre comme explosif et feux d’artifice (XIIe siècle) par les Chinois, en passant par la dynamite d’un certain Alfred Nobel, chimiste savant suédois (1833-1896), en passant par les explosifs des dernières générations dont le nucléaire, Albert Einstein (1879-1955) dont les cendres, des prairies célestes ne se refroidiraient jamais tant son aventure de promoteur dans le projet Manhattan de Los Alamos (1942-1946) regroupant les USA, le Royaume Uni et son appendice le Canada dirigé par Robert Oppenheimer (1904-1961) pour les premiers essais nucléaires dont la suite aurait été un cauchemar qui le hanta jusqu’à son dernier souffle.
Cauchemars suite à des sinistres causés au Japon et environnants par Little Boy largué sur Hiroshima du bombardier B29 “Eleoma Gay” du colonel Paul Tibbet le 6 août 1945 confirmé par Nakazaki le 9 août 1945 avec Fat Man largué d’un autre bombardier B-29 du major Charles Sweeney (source : Wikipédia).
Des messes (sommets) et autres agendas de l’environnement, les armes, le péril a été toujours superbement ignoré par ceux-là mêmes initiés d’une confrérie.
Une cécité que nos intellectuels et lettrés tardent à se remettre, sonnés ou joyeux et émerveillés devant la bêtise des Toubabs (certains) et assimilés cherchent à régler certains comptes qui en réalité sont en train de scier la branche de chêne (arbre) sur laquelle, eux-mêmes sont assis.
Sachons que l’atmosphère n’a pas de frontière, que l’air n’a pas besoin de visas pour traverser un pays et que nous sommes tous dans une même chambre compartimentée en classe commerciale et économique. Une chambre hermétique qu’on est en train de réduire de plus en plus à une étuve avec le réchauffement climatique, que l’on cherche toujours à étiqueter sans conviction.
Une chambre à gaz à l’intérieur de laquelle, nos innocents de toubabs (certains Blancs par respect) et autres damnés de la terre à qui mieux-mieux, dégoupillent des bombonnes de xyclon B, de gaz sarin, d’argent orange, et autres substances soporifiques.
Pour rappels :
– D’un héliocentrisme (soleil au centre de l’univers défendu par Nicolas Copernic (1478-1543) et Galilée (1564-1642), le globe terrestre tourne sur lui-même (rotation) en 24 h (pour le moment) et tourne autour du soleil (révolution) en 365 jours (pour le moment) sur une couche orbitale comme en chimie (l’atome et les électrons qui gravitent au tour).
La rotation terrestre va de l’Ouest vers l’Est à l’encontre des vents (Est-Ouest).
– Du point de vue précipitation, de ce côté-ci de l’hémisphère nord (Burkina, Mali, Sénégal et autres), les nuages féconds qui donnent des pluies (pendant la saison pluvieuse) prennent généralement naissance dans les régions nitrogènes comme les Iles Sainte Hélène (lieu de déportation de Napoléon Bonaparte pour la petite histoire) suivent une direction nord.
Avec la rotation terrestre et le croisement des vents suscités, les nuages décrivent une courbe en prenant une direction nord-ouest en passant par le golfe de Guinée, le Nigeria, le Burkina pour balayer le Mali, le Sénégal et une partie de la Mauritanie entre autres, sans compter certaines languettes de pays comme la Gambie, dans une zone de convergence intertropicale (FIT), vents du Nord et vents du Sud.
Avant qu’il ne pleuve, il fait généralement chaud.
A ce jour, toujours en terme de précipitation, la survenue des pluies sort du mystère, du fatalisme avec un principe simple : évaporation, condensation et précipitation, il y a possibilité de création dans une enceinte expérimentale, des nuages, les faire pleuvoir ou les détruire pour qu’il n’y ait pas de pluie.
Au 18e siècle, Benjamin Franklin (1706-1790), homme politique et physicien américain nous instruit des manifestations électriques des nuages, sanctionnées de l’invention du paratonnerre (lieu aujourd’hui de penser à une possibilité de boucliers anti-foudre sur nos villes).
– Sur le plan gazeux, l’atmosphère enveloppant le globe terrestre est composée de 5 couches superposées :
+ La troposphère avec une hauteur de 8 à 15 km
+ La stratosphère 8-15 km à 50 km
+ La mésosphère 50 km à 80 km
+ La thermosphère de 80 à 350-800 km
+ L’exosphère de 350-800 à 50 000 km (réf. Nasa Terre-Terre, Wikipédia).
La stratosphère est composée d’une couche d’ozone qui est un trioxygène, une molécule triatomique instable d’oxygène (3).
– Sur le plan géo-localisation, Tripoli, la capitale de la Lybie (Afrique du Nord) est à 3 080 km de Bamako (Mali) au Nord-est à 3 h 58 mn d’avion (source : happy Zebra.com).
– Pendant le conflit humanitaire libyen, de Dakar (Sénégal) en fin de spécialisation à Bamako, nous étions en pleine période hivernale biostasique (années successives de bonne pluviométrie pouvant durer 45 ans) alternant avec à la résistasie (d’une durée de 20 à 25 ans de mauvaise pluviométrie successive), les pluies se faisaient rares : absence, traces à défaut 1 à 5 mm à peine, malgré la présence de denses formations nuageuses stériles et infertiles contrairement à 20-120 mm de précipitation journalière en saison pluvieuse normale et malgré les tentatives vaines d’encensement de nuages (pluies artificielles) occasionnant une chaleur et une sécheresse inattendue…, la famine.
– Toujours pendant le conflit, tous les jours, du point de vue environnemental, nos villes et même l’intérieur de nos maisons étaient recouvertes de poussières blanc-grisâtres très irritantes pour les yeux et les muqueuses la peau.
L’état végétatif de la flore, des cultures, des pâturages et des forêts était mauvais, misérable, rabougri avec des rendements déficitaires, très en deçà de nos espérances. Des fruits comme la pastèque qui normalement pèsent 5 à 10 kg avaient de la peine à dépasser 1 à 2 kg avec des amendes (graines) immatures du fait du manque d’eau.
Le niveau d’embonpoint des animaux était très décevant
Les espèces rares en voie de disparition de la flore ont vu leur régénérescence compromise.
Chez nous autres intellectuels, lettrés et citoyens ordinaires, c’était la hantise du spectre de la sécheresse de l’inversion de la courbe de croissance économique suite à la destruction de tant d’années d’effort, de privatisation et de sacrifice consentis, nous ramenant à une situation de dépendance, d’assistance aux grés de ceux-là même qui nous ont mis dans cette situation.
“Nous nous sommes mis à genou pour implorer les coupables”
Pour le cas précis du conflit libyen, qui s’est étendu à dessein sur le Mali, durant 8 mois il y a eu une moyenne journalière de 200 bombes larguées occasionnant entre autres l’explosion de dépôts de munition et d’explosifs. Au-delà du sinistre causé en terre libyenne et en analysant de façon tridimensionnelle symétrique, il s’est formé un cocktail de nuages chimiques et poussiéreux qui avec le degré de volatilité s’est étendu de la croûte terrestre jusqu’à la stratosphère en provoquant la destruction d’une bonne partie de la couche d’ozone (du fait de son instabilité à se dissocier) exposant une bonne partie du globe terrestre aux rayonnements ionisants solaires avec des conséquences tant décriées de réchauffement climatique par les écologistes.
Au niveau de la troposphère (là où nous sommes sur terre où nous respirons), les nuages chimiques poussiéreux sont rentrés en compétition avec les nuages pluvieux dans un processus chimique d’oxydoréduction du fait de l’indispensable présence d’eau, entraînant la formation de bases et d’acides (composés chimiques).
En résumé : eau + élément chimique entraîne une réaction – voir annexes
En pratique, les nuages chargés d’eau du Sud, dans leur progression vers le Nord depuis les zones nuatogènes du Sud, croisent les nuages chimico-poussiéreuses de l’Est venant de la Libye, s’appauvrissent de leurs molécules d’eau au profit des nuages chimico-poussiéreuses de la guerre dans le but de leur stabilisation. (A la vue et au toucher la potasse et la soude sont toujours humides et chaudes).
Comme conséquence, de la Libye, une bonne partie de l’Ouest africain et de l’Amérique du nord (cas d’assèchement des grands lacs de retenues d’eau), par déviation du courant d’air a accusé un déficit pluviométrique doublé d’une pollution acido-basique des sols jusqu’aux eaux souterraines et aux océans triplée d’une chaleur caniculaire (réchauffement climatique) s’étendant outre atlantique, hypothéquant les rendements agricoles, avec destruction de la flore compromettant l’alimentation des animaux et la régénération d’espèces végétales en menacée de disparition. Ce même phénomène se vérifie aujourd’hui en Europe de 2015 suite au conflit syrien et yéménite. Une menace pour la vie sur terre du fait que la flore constitue les poumons de la terre. “Un processus qui va au-delà de l’effet de serre”, un processus de fonte des glaciers contribuant au réchauffement climatique, à la destruction de la biodiversité mais aussi au relèvement du niveau des océans avec submersion de certaines côtes et îles.
Pour causes, les scientifiques ont ébauché plusieurs hypothèses, mais il y a une toute simple qui lors d’un voyage à Montréal au Canada en plein hivers (-35°c) lors du 1er anniversaire du verre glas (1999) pourrait apporter solution entre autres : Pour déneiger les routes et permettre la circulation, les autorités municipales font de l’épandage sur les voies de gravillon (morceaux de cailloux) mélangés au sel marin (Na Cl). Tout de suite, on voit la glace fondre et cela, simplement parce que, à la réaction du sel avec l’eau (neige), il y a production de chaleur qui fait fondre la neige ce qui fait penser à nos cours de physique des petites classes : “Pour baisser la température de solidification de l’eau (0° normalement), on ajoute du sel ou du sucre”.
La fonte des glaciers pourrait s’expliquer par dépôts éoliens de substances basiques sur les glaciers et selon la quantité et l’infiltration provoquerait sa fragilisation se traduisant par sa fonte ou par des cassures (icebergs) qui dériveraient vers les eaux chaudes pour fondre (expérimentalement déposons des cristaux de sels sur un morceau de glace et observons la suite.
Nous rappelons qu’avec les vents, il y a toujours possibilité de rémanences des années durant de réactions chimiques. Une autre grande conséquence de bombardements a été physique par l’amorce ou le déclanchement de grands cataclysmes atmosphériques.
Un fléau qui n’épargna aucune partie du globe terrestre suite à la constitution et aux perturbations causées par de grands massifs de vents par effet de déplacements d’air de proche en proche de faits de bombardements. De véritables Tsunamis de vents ou icebergs de vents de par son caractère inconnu, empruntant des couloirs météo (directions) inhabituelles ont provoqué des collusions atmosphériques non courants. Des tempêtes, des ouragans, des cyclones, des inondations, des glissements de terrain, des canicules aux grands refroidissements, tout y passe, tout était qualifié au superlatif tant par sa puissance, tant par son degré et capacités de nuisance et de destruction.
Aujourd’hui, le Mali, le Sénégal, le Burkina, le Niger et bon nombre de pays ouest africains et peut-être au-delà vivent une situation inquiétante, préoccupant de plus d’un mois d’absence de pluies naturelles.
Les vents porteurs des pluies qui venaient généralement du Sud-est avec une direction nord-ouest selon une courbe ont changé de trajectoire depuis environ plus de 50 jours (en date du 26 Aout 2014) et ont pris une direction sud-ouest au départ avec une direction nord-est.
De la chaleur humide quand le ciel était couvert avant, nous avons actuellement des nuages glacials. Tripoli, Misrrata, Benghazi, Béni Walid sont-ils (elles) passés (ées) par-là ?
Victimes par le passé de la chimie, nous sommes victimes aujourd’hui de la physique !!! Que de naïveté !!!
Véritable sort de damnés que le nôtre dont l’avenir serait décidé ailleurs par des bouts d’hommes à l’esprit bref et paranoïaque et selon le goût du café ou du millénissime !!!
En perspective
– Une réforme des Nations unies s’impose avec la création d’une chambre parallèle au conseil de sécurité avec droit de veto où feront partie l’Allemagne et le Japon, faucons hier, Colombes aujourd’hui avec un poids intellectuel et économique sans commune mesure.
Feront aussi partie les représentants des 3 autres continents (Amérique-Afrique et Australie) dont les critères resteront à définir et dont, ne devant pas faire partie de la couronne britannique ou de l’appendice (prolongement) de tous autres membres du conseil de sécurité.
Les Nations unies dans sa forme actuelle a vécu (depuis Yalta, San Francisco en 1945).
Histoire des Colombes face aux Faucons chez qui la loi est toute faite, où le mal n’est pas un péché, mais une arme légale pour servir des intérêts contrairement à la Cour pénale internationale pour servir le 1/3 monde, le 1/3 Etat du monde.
Cette chambre permettra un bon rééquilibrage et casserait l’héliotropisme de certains Etats (comme dans la forêt équatoriale, certains arbres en quête de soleil grandiraient plus vite que d’autres du fait du confinement… “espace vital” !!!
– La mise en place d’un fond de dédommagement au niveau des Nations unies pour réparation des bêtises.
– Le maillage des continents en réseau de stations de prélèvement d’échantillonnage et de sondage météo indépendantes à but de contrôle physico-chimique de l’air.
La Libye fut l’exception qui confirma la règle : Ethiopie, Soudan, Afghanistan, Iran-Irak, Irak, Yémen, Syrie où une partie de l’Europe occidentale selon la rotation terrestre et selon les couloirs dépressionnaires aurait connu son “été indien” en plein hiver 2014 et son déficit pluviométrique record en 2015. Les scientifiques et les politiques parleront toujours de “changement climatique” !!!
Par la même occasion, cet article est la suite d’une graine semée par Météo-Mali et l’ORTM pour l’enseignement de masse du citoyen malien aux questions environnementales, tout en m’inclinant devant la mémoire des victimes Mamadou Haïdara “Talbi” et autres anonymes pour le sacrifice.
Mes remerciements à RTS (Radio télévision sénégalaise) pour de belles images dynamiques de haute résolution, à Africable une université du savoir, à TV5 monde et à France 24 pour le lyrique fond musical enchanteur.
Par extension l’exploitation minière outrancière et la fonte industrielle du minerai (Il faudrait combien de tonnes de minerai et selon la teneur, fondu pour obtenir 1 tonne et demi de fer pour fabriquer une voiture qu’on va jeter après ?) pour des besoins mondiaux appauvrirait le globe terrestre de ses charges électriques, diminuant ainsi le champ magnétique global terrestre le maintenant en orbite du soleil comme une couche électronique gravitant autour de l’atome en 365 jours de 24 h et le protégeant des météorites. De la nuisance de l’homme, l’année et le jour pourraient compter plus en termes de durée avec risque de dérive de la planète Terre le faisant quitter de sa trajectoire de système solaire et l’exposer aux projectiles cosmiques (météorites) causée par la disparition du bouclier magnétique.
La science étant une course de relai 4x400m, souvent on est tenté de part sa beauté de saisir le bâton témoin, mais l’hésitation nous pousse à la léthargie, au mutisme, de crainte d’être à la hauteur. D’une expérience allemande de simulation de rotation terrestre à partir d’un ballon métallique contenant du sodium liquide, entretenu par un champ électrique, et se référant sur un cour de physiologie de fonctionnement cardiaque à Dakar où on apprend le fonctionnement autonome du cœur à partir du tissu de cellules autonomes spécialisées cardiaque (cellules nodales) qui donne naissance à l’influx nerveux qui excite le cœur entrainant son battement par polarisation et dépolarisation du muscle cardiaque, on est en droit de se demander si les minerais radioactifs (uranium, sélénium, cobalt et autres…) par son instabilité en terme d’atomes (charge et décharge automatique) ne jouerait pas ce rôle de stimuli électrique actionnant le dynamo qu’est le globe terrestre en activant les autres minerais, entrainant ainsi sa rotation.
Avec la sur exploitation des gisements de minerais radioactifs pour des fins militaires et civils et des gisements de métaux pour divers usages, on est en droit de se demander si à terme, la terre pourrait produire suffisamment d’énergie nécessaire pour atteindre le potentiel d’action (niveau) indispensable à la pérennisation de la rotation terrestre.
De cet article, je souhaite ne pas avoir raison tant l’avenir serait pénible et effroyable en cas de mauvaises prises de conscience des décideurs. Si on savait !!!
Annexes
Rappelons que les bases proviennent des métaux alcalins et alcalino-ferreux par réaction avec l’eau donnant des hydroxydes, avec dégagement de gaz d’hydrogène chez les métaux alcalino-ferreux.
Exemple :
– Sodium + eau donne hydroxyde de sodium (soude caustique) + hydrogène
Na + H2O NaOH + ½ H2
– Magnésium + eau donne hydroxyde de magnésium + hydrogène
Mg + 2 H2O mg (OH)2 + H2
– Potassium + eau donne potasse + hydrogène
K + H2O KOH + 1/ H2
La réaction de ces éléments est dû à la possession d’un élément excédentaire des alcalino-ferreux selon la loi de Octet et le principe de Paoli, (remplissage des couches électroniques) dont le supplément est capté par le déficitaire pour la stabilité électronique.
L’acidité est définie par le déficit de l’électron, ce qui est le contraire de la basicité qui est l’excédent.
Exemple d’acide :
Hydrogène + chlore donne de l’acide chloridrique
H2 + Cl2 2Hcl.
Remerciements à Abdoul M. Thiam journaliste, pour son amour pour l’écologie et ses conseils dans la rédaction du présent article “Nous sommes tous interpellés par le devenir de l’humanité”.
Dr. Moussa Dassé Mariko
Cardiologue Hamdallaye, Bamako
E-mail : marikomoussa2003@yahoo.fr