Créée depuis plusieurs années, cette entreprise malienne spécialisée dans la fabrication des meubles, Fofy industrie car c’est elle qu’il s’agit, se donne comme sport favori l’exploitation de ces travailleurs pour atteindre ses objectifs. Et pourtant, selon certaines indiscrétions l’entreprise gagne des centaines de millions lui permettant de mettre ces derniers dans toutes les conditions matérielles de travail.
Fofy industrie est une entreprise malienne dont les produits sont diversement appréciés. Elle est l’une des entreprises dont les produits sont les plus sollicités sur le marché. Du coup, elle gagne des centaines de millions par an. Et cela au détriment de ces travailleurs qui vivent avec des salaires de misères.
Selon certaines sources, l’exploitation de l’homme par l’homme est monnaie courante dans cette entreprise. D’entrée de jeu, les travailleurs sont recrutés sur la base d’un stage qui devient continuel avec un petit salaire et par la suite l’intéressé est embauché mais continue avec le même salaire.
De ce fait, il travaille pendant les huit (8) heures avec parfois des heures supplémentaires jamais payées. Gare à celui qui prendra le risque de réclamer ses dus, se verra licencier sans autre forme de procès. Mieux les travailleurs sont tenus à l’œil par la direction par rapport à leur condition sociale, autrement dit dès lors que votre condition de vie change, une attention vous est accordée si toutefois les fonds de l’entreprise ne sont pas détournés.
Aussi, à en croire certaines indiscrétions, l’inspection du travail est également mise dans les conditions par le patron avec de moyens colossaux pour éviter tout procès avec un employé au détriment de l’entreprise.
Comme pour dire que dans cette entreprise de la place, les travailleurs sont sous pression avec à la clef une menace de licenciement en cas de plainte ou autre forme de revendication. Cette triste réalité est l’une des causes principales de la chute des nos entreprises.
Nous vous ferons des révélations fracassantes dans nos prochaines parutions.
Signalons que malgré nos tentatives de joindre le patron des lieux à été sans suite.
Yacouba Dembélé