Très attentif à la gestion du pays, le parti lumière pour l’Afrique présidé par Seydou Diawara dit Martin donne sa recette pour le changement positif.
La dégradation à grande échelle de la situation socio- économique et sécuritaire de notre pays constitue un contexte très difficile pour les Maliens. Mais à tout point de vue, il n est pas insurmontable si l’Etat met en place les mécanismes de sa propre refondation, de ceux des institutions de la république. Le contexte international est dominé par la crise économique, le terrorisme, l’expansion de l’activisme jihadiste, les fléaux sociaux tels que le sida, Ebola.
Nul ne doute que, face à ces maux, il est impérieux qu’un nouveau projet de société soit proposé aux Maliens. L’importance de ce changement en profondeur au sommet de l’Etat est qu’il donne une couverture productrice au peuple malien, défend l’intérêt de la nation, mais et surtout, renforce l’autorité de l’Etat. Sous la bannière de la nouvelle cartographie des relations internationales, l’Occident entretient et admet l’existence d’un Etat voyou, à travers lequel, il impose sa vision et exploite économiquement nos Etats.
Selon le parti lumière pour l’Afrique, nous devons faire un travail d’élaboration de nos priorités pour cela, il incombe à l’Etat de mettre un accent particulier sur l’éducation, la santé, la formation, la gestion transparente de nos ressources, afin que le pays soit mieux préparé à faire face aux grands défis de ce siècle. Dans une stratégie de redistribution équitable, chaque citoyen doit profiter des résultats de la croissance économique.
Le parti lumière pour l’Afrique ne ferme la porte ni aux partenaires techniques et financiers (Ptf) ni aux négociations dans le cadre de la coopération internationale, mais que ces derniers aboutissent à un rendement équitable. L’intérêt supérieur de la nation doit être protégé et défendu dans tous les rounds de négociation.
Yerebalo Samaké