Après une première phase de l'intervention au Mali où la France est au premier plan, les troupes africaines devront prendre le relais explique François Géré, président fondateur de l'Institut français d'analyse stratégique.
L'intervention française au Mali a été réalisée en urgence en raison de la menace de l'avancée des djihadistes sur le sud du pays et la capitale, explique François Géré, chargé de mission à l'Institut des hautes études de défense nationale. Or les troupes africaines n'auraient pas été prêtes de la Cédéao n'auraient pas été prêtes avant plusieurs mois. Dans une deuxième phase, ces forces essentiellement africaines devront liquider ces bandes de manière à rétablir la paix et la souveraineté du territoire malien. ... suite de l'article sur Autre presse