Le groupe islamiste armé qui a revendiqué mercredi 16 janvier la prise d'otages sur le site gazier d'In Amenas, dans le centre-est de l'Algérie, près de la frontière libyenne, exploité par le groupe britannique BP, le norvégien Statoil et l'algérien Sonatrach, a réclamé dans un communiqué "l'arrêt de l'agression" au Mali.
"Nous annonçons avoir réussi une attaque de taille en réaction à (...) la croisade menée par les forces françaises au Mali", indique le communiqué rédigé par un groupe intitulé les Signataires par le sang ("La brigade Al-Mouthalimin"). C'est le nom que l'Algérien Mokhtar Belmokhtar, récemment destitué d'Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI), a donné à sa katiba (unité combattante).... suite de l'article sur Autre presse