Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratiques    Le Mali    Publicité
aBamako.com NEWS
Comment

Accueil
News
Sport
Article
Sport

Le Malien Cheick Diallo grand espoir du basket-ball africain
Publié le mercredi 6 janvier 2016  |  RFI
Le
© AFP par AMIE SQUIRE
Le malien Cheick Diallo




A 19 ans, Cheick Diallo s’est déjà fait un nom aux Etats-Unis. En avril 2015, le Malien a été élu meilleur joueur d’un tournoi entre les meilleurs lycéens d’Amérique du Nord, comme Shaquille O’Neal et LeBron James avant lui. Et l’ailier brille désormais dans le championnat universitaire, avant sans doute d’intégrer la NBA d’ici deux ou trois ans.
Shaquille O’Neal, Kevin Garnett, LeBron James, Kevin Durant sont des noms fameux dans l’univers du basket-ball. Comme eux, un certain Cheick Diallo a été élu meilleur joueur du prestigieux All-American Game, une rencontre annuelle entre les meilleurs lycéens d’Amérique du Nord. Et comme Wilt Chamberlain, l’un des meilleurs basketteurs de l’histoire, le Malien porte les couleurs des Jayhawks de Kansas University, l’une des plus prestigieuses équipes du pays.
L’ailier a pourtant eu du mal à intégrer le championnat universitaire (NCAA), cette saison, et ce pour de sombres raisons administratives. Mais Cheick Diallo et son entourage ont remporté leur bras de fer avec la National Collegiate Athletic Association, après plusieurs semaines de conflits. Le natif de Kayes peut donc poursuivre sa marche en avant, entamée en 2010.
Trop grand pour jouer au football
« J’ai commencé le basket-ball […] quand j’avais 13 ans, raconte le benjamin d’une fratrie de cinq garçons. Avant je jouais au football. Mon père m’a dit que j’étais devenu trop grand et que je devais trouver un autre sport ».
Au début, le gamin n’est pas franchement accroc au gros ballon orange. Il lui faut un ou deux ans pour bien se prêter au jeu. « Chez moi, tout le monde faisait du football et personne n’aimait vraiment le basket-ball, explique-t-il. A Bamako, il y avait beaucoup de basketteurs. Mais à Kayes, pas vraiment ».
Même regarder les matches NBA était compliqué, entre le décalage horaire avec les Etats-Unis et l’accès difficile aux retransmissions télévisées...Lire la suite sur rfi
Commentaires