Au Mali, l’application de l’accord de paix signé entre Bamako, les ex-rebelles de la CMA et les milices pro-Bamako de la Plateforme piétine, et ce alors que les Maliens en attendent beaucoup. C’est valable dans tout le pays et peut-être encore plus dans les régions du Nord, qui ont subi les combats pendant la rébellion et dont une partie de la population est toujours déplacée ou réfugiée hors de chez eux. A Gao, première ville du Nord, le Cadre de concertation rassemble les notables de la ville. Saliou Maïga en est le secrétaire général.
« Les gens ont constaté après sept mois que la paix est encore précaire, par rapport à la sécurité, par rapport au déplacement de personnes et des biens... Lire la suite sur Rfi.fr