En marge des opérations militaires, chez les populations, la crainte de représailles ciblées grandit. Crainte de représailles dans le nord contre des peuls accusés d’être pro-Mujao, car certains ont été vus dans les rangs des jihadistes. Crainte de représailles aussi contre les « teints clairs », comme on les appelle, c'est-à-dire les communautés arabes et tamacheks, accusées de collusion avec les terroristes. Ces derniers jours plusieurs Maliens au teint clair se sont sentis menacés dans la capitale.... suite de l'article sur RFI