L’intervention de la France aux cotés de l’armée malienne se déroule à un moment où le déploiement d’une force africaine est en train de voir le jour. Toutes les conditions sont réunies pour bouter les narco-djihadistes hors du Mali. C’est déjà la peur bleue pour le mouvement indépendantiste. Le temps de la guerre, un moment que choisit le MNLA pour tenter un coup de publicité. Il a demandé à aider la France pour combattre les terroristes. Quelle ruse ! Ce groupe terroriste pour le moins n’agit et n’existe plus que sur les écrans de télévision.
Et si Oumar Mariko et la COPAM se taisaient !
Le Docteur Oumar Mariko, un homme politique avide du pouvoir et la Copam sont désormais dans leurs petits souliers, depuis le début de l’intervention militaire extérieure. Ils sont très mécontents. Et, ils continuent toujours de tirer à boulets rouges pendant que le Mali se trouve en guerre contre les ennemis de la nation. En effet, le 9 janvier dernier, ceux qui ont battu le pavé en criant sous tous les toits qu’ils n’acceptent aucune aide militaire venant de l’étranger le disaient-ils au nom de l’intérêt national ? Que non ! Le 10 janvier, l’histoire nous a montré que le Mali a perdu inutilement du temps. Dieu est plus rapide que son envoyé.
Du Mali en Algérie : le terrorisme n’a pas de frontière
La preuve : un groupe djihadistes mené par Mocktar Belmocktar Alias Ben Laour (le borgne) a pris d’assaut le site gazier d’In Amenas en territoire algérien et non loin de la frontière libyenne. Les terroristes qui ont pris en otage le 15janvier dernier des Algériens et des étrangers travaillant pour le compte de l’industrie pétrolière, ont exigé l’arrêt des opérations de l’armée française au Mali. Ils sont en guerre l’Algérie qui a décidé d’ouvrir son espace aérien pour les avions miliaires français. La suite est connue. Dieu est grand
Interdiction du port du voile à Gao et Ansongo
Un proverbe sonrhaï dit que « la patience est un chemin d’or ». Les populations d’Ansongo et de Gao n’en croyaient pas leurs oreilles lorsqu’un communiqué radio diffusé, interdisait formellement le port du voile dans les rues. Cette mesure intervient 48 heures seulement, après les bombardements. Allez- y savoir pourquoi.
Sabotage du réseau téléphonique au Nord du Mali
A Ansongo, la base djihadiste dirigée par ABOU KAKA allias le boucher a décampé depuis dimanche. Auparavant, ils ont pris soin de saboter les deux réseaux téléphoniques, car, selon eux : »Nous savons que des gens donnent notre position à l’armée malienne ». A Gao tout comme à Ansongo la nouvelle stratégie des djihadistes consiste à se déplacer à moto ou en rangs dispersés pour passer inaperçus.
