Où va donc le Mali ? La question revient, sans cesse, sur toutes les lèvres. A longueur de journée, dans les bureaux, les grins, les salons, les places publiques… Bref, partout, ce sont les mêmes interrogations, les mêmes inquiétudes et les craintes à propos de l’état actuel du pays et surtout de la gouvernance calamiteuse du pouvoir en place. Une gouvernance qui précipite le pays au fond de l’abîme. Oui la gouvernance d’IBK est malade. Et elle (cette gouvernance malade) fait souffrir un peuple et elle compromet même l’existence du pays, estiment de nombreux maliens soucieux de leur pays.
En réalité, la gouvernance du Mali est gravement malade. Malade de la corruption à grande échelle qui devient le sport favori de gens tapis dans le cercle du pouvoir et les rouages politiques et affairistes de la capitale.
Malade de ces détournements des deniers publics qui profitent à une minorité au moment où les populations n’arrivent plus à s’offrir le minimum vital. La gouvernance actuelle est malade du manque de vision politique et de projets … pour sortir le Mali de l’impasse.
La gouvernance d’IBK est malade à cause de ces tâtonnements et saupoudrages qui deviennent la marque de fabrique de l’actuel régime. La gouvernance actuelle est aussi et surtout malade de la multiplication de scandales financiers.
Oui, avec IBK, la « boîte à scandales » tourne à plein régime. Avec une telle gouvernance, ne faut-il pas alors s’inquiéter pour le Mali ?
La Rédaction