Qui, au Mali, peut ou doit finalement monter sur l’arbre de la transparence ? C’est la question qui semble tarauder les esprits de la nouvelle génération. A cet effet, il est important que le peuple ouvre ses yeux pour observer, analyser et enfin juger. D’ATT à Amadou Haya Sanogo puis à IBK, il serait vraiment aisé de voir, revoir les acteurs de la vie politique, économique et sociale. Pour comprendre les intentions “nationalistes ou personnelles” de chacun. Afin de connaître les “vrais” patriotes.
Depuis quelques jours sur les réseaux sociaux jusqu’à la tenue d’une conférence de presse, les masques tombent. Dans son droit de demander des comptes aux plus hautes autorités, une association dénommée Biprem-fasoko est née. Normal, comme dirait l’autre. Mais faudrait-il savoir en quoi consiste la haute trahison selon les textes de loi et qui peut traduire le Président de la République devant la Haute Cour de Justice ?
Alors votre bihebdomadaire d’infos générales de vérité s’est permis de battre le pavé. Non sans conséquence. Il donne son point de vue.
Au Mali, il serait important que l’on s’asseye pour se regarder en face pour faire un jugement sans complaisance. L’histoire la plus récente de notre pays prouve que le Biprem n’agit nullement pour la patrie ou pour le bonheur du peuple. D’abord, au vu de la présence de certains hommes ou femmes qui le composent. Ensuite, à certains griefs formulés contre le président IBK. Reconnaissant tous ensemble la situation actuelle du pays, nous devons agir pour le Mali et non pour nos propres intérêts jusqu’à vouloir détruire notre tissu social. Aujourd’hui, chaque Malien se doit d’agir pour le Mali comme sont en train de le faire à nos jours les opposants comme Soumana Sacko ou Soumaïla Cissé parmi tant d’autres.
En éternels insatisfaits depuis sous ATT en passant par sous AHS et ayant couru et accouru chez IBK, ils tombent dans l’indifférence. Puisque leur objectif de se remplir les poches ou de pouvoir jouer des premiers rôles dans un domaine ou dans un autre n’ont jamais pu se réaliser. Finalement, il faut vilipender le président de la République par des sorties médiatiques incompréhensibles voire insensées au moment où il est sur la bonne voie, celle ascendante pour un Mali de paix qui se développe lentement mais sûrement. Sur la bonne voie car il est en train de réussir le pari des deux plus grands objectifs qui lui ont permis d’être presque plébiscité au 2ème tour avec plus de 77%. A savoir, résoudre le problème du nord notamment Kidal, puis refonder une armée digne de ce nom pour un Mali nouveau. “Sandji djoukoro wosi tèdon”, la sueur sous la pluie n’est point visible sinon, il faut le reconnaître, IBK a eu un début de mandat difficile avec de nombreuses trahisons de ses proches. Depuis plus d’un semestre, il a pris du poil de la bête. Même si nous sommes encore loin de dire que tout est rose, la situation actuelle du pays lui est favorable. Simple preuve, ce sont nos FAMAS (forces armées et de sécurité) presque seules qui ont libéré les otages de l’hôtel Radisson, géré la situation de Kadiolo entre autres. Aujourd’hui, tous les Maliens sont fiers de voir nos porteurs d’uniformes en tenue correcte avec désormais des armes appropriées. Les finances ont commencé à être assainies, les infrastructures routières les plus importantes se réalisent, etc.
Evitons les amalgames, mettons l’intérêt général en jeu et non personnel. Donc, agissons pour le Mali !
B. DABO