Cela fait plus de deux ans que Bamako et d’autres grandes villes du Mali n’ont enregistré le démarrage d’un seul chantier. En effet, aucune infrastructure n’a été ouverte par le président IBK qui poursuit d’inaugurer les infrastructures entamées avant qu’il n’arrive au pouvoir.
Conséquence : Bamako se dégrade à un rythme effrayant. Les routes, les feux tricolores, les monuments et autres places publiques réalisés sous ATT, tombent en ruine dans l’indifférence générale. L’on se demande s’il existe encore dans ce pays un département en charge des infrastructures ou encore des mairies.
Pendant ce temps, l’argent public est détourné ou tout simplement dilapidé pour le confort du prince.