Société
Passage piéton au niveau de la gare routière de Sogoniko, un danger pour les usagers de l’Avenue OUA
Publié le vendredi 11 mars 2016 | Infosept
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La passerelle pour piétons au niveau de la gare routière de Sogoniko est dans un état de dégradation avancée. Comme vous pouvez le constater sur l’image, l’infrastructure comporte aujourd’hui de nombreuses fissures, qui le feront certainement tomber un jour ou l’autre et malheur à qui se trouvera ce jour en dessous. Vu cet état de fait, certains usagers, ont tout simplement refusé de l’emprunter. La raison est toute simple : pour ne pas être un jour parmi les victimes au cas où l’infrastructure venait à céder. Alors, les responsables de sécurité routière sont vivement interpelés pour éviter ce drame de danger public pour lequel, le Gouvernement, les mairies du District et de la Commune VI sont interpellés.
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Les associations féminines appelées à gérer «en bonne mère de famille», le chèque de 58 millions de FCFA de la CEDEAO pour les bourses d’excellence des filles démunies
A l’occasion de la célébration du 8 Mars, Journée internationale de la Femme, la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest, CEDEAO, a remis aux associations féminines maliennes un chèque de 58 millions de F CFA destinés à financer les bourses d’excellence pour les filles de familles démunies. En plus de ce pactole, le Chef de l’Etat a lui aussi remis un gros chèque de 1 milliard de nos francs aux femmes maliennes pour l’amélioration de leur condition de vie. Vivement une bonne et juste utilisation de ces fonds.
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En Syrie plus 250 000 enfants déplacés mangent de la nourriture pour animaux
Selon l'ONG Save the Children, plus de 250.000 enfants syriens sont pris au piège dans des localités syriennes assiégées par des belligérants, certains étant réduits à manger de la nourriture pour animaux ou des feuilles pour survivre. Faut-il le rappeler, le conflit en Syrie, qui va entrer dans sa sixième année, a fait plus de 270.000 morts et des millions de réfugiés et de déplacés. La responsabilité de l’Europe et des Etats unis reste entière. Heureusement que la Turquie s’engage à donner un asile à ces refugiés. Pitié pour notre monde d’aujourd’hui.
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Arrêtez l’intox de la terreur : Les djihadistes ne sont pas encore arrivés à Misséni
Depuis un certain moment on fait croire par presse interposée que les attaques qui ont lieu par moment dans la région de Sikasso et surtout à Misséni seraient le fait de djihadistes. Soyons sérieux, pour ceux qui connaissent la géopolitique de la région et l’honneur des sénoufos, aucun djihadisme incontrôlable ne saurait prospérer dans cette partie du pays. C’est une certaine presse internationale dont le dessein est connu qui tente de faire monter le baromètre de la terreur pour semer la panique générale au Mali. Après plusieurs recoupements auprès de correspondants sur place et des ressortissants de Misséni à Bamako, il nous est revenu à plusieurs reprises et de façon concordante que ce sont des règlements de compte entre la mafia des orpailleurs traditionnels et les forces de sécurité. Cela couve un certain malaise des populations du Sud qui rejettent par des actions sporadiques les représentants d’un Etat qu’ils jugent trop sévère dans la corvée imposée aux populations du sud pour des peccadilles, quand dans les régions du nord il s’est totalement désengagé et ne réclame plus rien à personne même pas ses impôts. Il faut alléger la pression fiscale sur le Sud et la rançon de certains éléments des forces de sécurité.
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Le Bureau national de l’Union des femmes RPM veut assigner le Biprem en justice pour diffamation
L’information a été donnée par la présidente du bureau national de l’union des femmes RPM (BN-UF-RPM), Mme Diawara Aïssata Lady Touré. C’était le mercredi 9 mars 2016 au CICB. C’est suite à la rencontre de l’International Socialiste des femmes tenue à Luanda en Angola en novembre 2015 que le bureau national des femmes RPM a été désigné pour présenter, le 17 mars 2016 à New York, le thème : « Agenda 2030 : violences faites aux femmes, cas du Mali ».
La rencontre d’aujourd’hui s’inscrit dans le cadre de la préparation de cette rencontre du 17 mars 2016. La cérémonie présidée par Mme Diawara Aïssata Lady Touré, présidente du BN-UF RPM a eu lieu en présence de plusieurs cadres du parti. Aux dires de la présidente, la violence est aujourd’hui un grand problème partout dans le monde et cela est confirmé par les statistiques de toutes les organisations de droit de l’homme. Ainsi, les statistiques des Nations-Unies et des organisations de défense des Droits de l’homme nous apprennent que : des dizaines de millions de personnes perdent la vie chaque année du fait d’actes de violences et tous les jours en moyenne 1424 femmes sont tuées dans des actes de violence. Pour terminer, Mme Diawara a informé l’assistance de l’intention de son bureau d’intenter un procès en diffamation contre l’association « BIPREM » suite à ses allégations de haute trahison contre le Chef de l’Etat.
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