A travers un communiqué diffusé sur les réseaux sociaux et sur l’ORTM, les APM (Associations Pour le Mali), une coalition de soutien aux actions du président de la République, ont, à leur tour manifesté leur colère face à la plainte du BIPREM contre IBK pour haute trahison. Les APM ont dénoncé une diffamation à l’encontre de la première institution du pays.
Dans ce communiqué daté du mardi 8 mars 2016, les Associations Pour le Mali (APM) condamnent fermement ce qu’elles appellent « des allégations mensongères qui n’honorent ni les auteurs, ni le pays ». Selon elles, cette plainte n’a autre but, en cette période de réconciliation que de jeter le discrédit sur le président de la République Ibrahim Boubacar Keita et de fragiliser les institutions de la République. Occasion pour elles d’appeler le président de la République, Ibrahim Boubacar Keita à garder fermement le cap sur son projet de société et à ne ménager aucun effort pour la réussite de son programme de gouvernement. Avant d’exhorter le Premier ministre et les autres membres du gouvernement ainsi que toutes autres personnes ayant eu la confiance du président de la République à continuer à traduire en actes ses idéaux qui sous-tendent ses thèmes chers à savoir « Le Mali d’abord, pour l’honneur du Mali et le Bonheur des Maliens ».
« Les APM expriment leur profonde indignation qu’une plainte aussi fantaisiste portée devant une Institution de la République par des citoyens en mal d’inspiration et de reconnaissance, reçoive un écho. Les APM regrettent que des médias de renommée internationale portent à leur UNE un acte si factice. Il est en effet monstrueux que des organes médiatiques, qui se réclament du professionnalisme, réservent un traitement significatif à une initiative et un document réductible à un simple tract », indique le communiqué.
Les APM promettent de rester mobilisées pour apporter leur pierre, leur brique et leur fer à l’édification du Mali nouveau sous l’égide du président IBK.
Il faut cependant rappeler que les APM ne sont les seules à s’indigner contre cette plainte du BIPREM contre le président de la République. Depuis l’annonce de la nouvelle, des voix ne cessent de s’élever pour critiquer cette audace de trop. Tout comme d’autres qui l’ont soutenu au motif que c’est un acte patriotique et démocratique.
Modibo Dolo