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Que pensez-vous de l’attaque terroriste perpétrée contre l’Hôtel Radisson de Bamako?

Il s’agit d’une oeuvre de ceux qui sont jaloux de l’accord de paix et de réconciliation signé en juin.
C’est un acte anodin visant seulement les occidentaux.
Les services de sécurité maliens sont trop défaillants.
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Pretoria comprend l`intervention française au Mali
Publié le jeudi 24 janvier 2013  |  AFP


Ebrahim
© Autre presse par DR
Ebrahim Ebrahim, vice-ministre sud-africain des Affaires étrangères


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PRETORIA - L`Afrique du Sud soutient toujours l`idée
d`une intervention armée africaine au Mali, mais comprend la volonté française
de contrer "une menace terroriste", a indiqué jeudi à Pretoria le
vice-ministre sud-africain des Affaires étrangères Ebrahim Ebrahim.

"Il semble qu`il y avait un besoin d`une intervention rapide au Mali, en
raison d`une menace terroriste" directe sur Bamako, a déclaré M. Ebrahim
devant des journalistes, en réponse à une question sur l`intervention de
l`armée française.

"D`un point de vue français, la situation au Mali était une menace
terroriste impliquant Al-Qaïda au Maghreb, qui menaçait non seulement les pays
de la région, mais également des pays européens."

Interrogé sur la différence entre l`opération française au Mali et
l`intervention de la France en Côte d`Ivoire en 2011, critiquée à l`époque par
Pretoria, M. Ebrahim a expliqué: "La principale différence, c`est que le
président Sarkozy n`avait pas appelé notre président (Jacob Zuma) pour lui
demander son avis sur l`intervention, alors que le nouveau président (François
Hollande) l`a fait."

"L`intervention française en Côte d`Ivoire était unilatérale, dans le but
de résoudre un différend politique", a-t-il ensuite argumenté.

L`opération française au Mali, en revanche, s`inscrit selon M. Ebrahim dans
le cadre des décisions de l`ONU, et prépare la voie à une mission menée par
les Africains.

"Nous soutenons la résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies en
faveur d`une mission dirigée par l`Afrique au Mali", a répété le
vice-ministre, affirmant que l`Afrique du Sud souhaitait que "la CEDEAO
(Communauté économique des Etats d`Afrique de l`Ouest) prenne la tête" des
opérations.

jjc-cpb/liu/sba

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