Depuis le début de l`intervention militaire franco-africaine au Mali, les groupes islamistes armés ont subi des pertes humaines et matérielles. Mais restent dotés de moyens importants.
Pertes humaines
Les pertes d`Aqmi, du Mujao et d`Ansar Eddine ont pour l`essentiel été subies lors de la bataille de Konna, à partir du 9 janvier (une centaine de morts selon les estimations d`experts militaires français), ainsi que durant les bombardements des villes de Kidal, Douentza et Gao menés dès le 12 janvier (une soixantaine de morts). Ce type d`opération a été renouvelé à Léré, où se trouvaient des réserves de munitions et de carburant, dans la nuit du 13 au 14 janvier.
S`ajoutent des attaques contre des objectifs d`opportunité : on peut supposer que les jihadistes perdent quelques dizaines d`hommes au cours de tels raids, comme récemment à Tombouctou.... suite de l'article sur Jeune Afrique