La Journée internationale du jazz sera célébrée le 30 avril prochain et c’est Rokia Traoré qui sera au cœur de cet événement inédit à travers son espace culturel “La Passerelle”, situé à Missabougou.
C’est très enjouée et entourée du représentant résident de l’Unesco au Mali, Lazare Eloundou Assomo, de la directrice de l’Institut français, et de Zoé Dembélé, président de l’association du “Nyon Kon Koum Ben”, que Rokia Traoré s’est entretenue hier avec la presse.
La diva du Bélédougou a parlé de l’immense honneur fait à sa personne d’être l’hôte de la Journée internationale du jazz, prévue ce 30 avril 2016 et d’un festival international de la musique jazz dont le programme s’étendra du 30 avril au 7 mai.
Elle s’est réjouie du partenariat tripartite très fructueux entre sa fondation “La Passerelle”, l’Unesco et l’Institut français pour la construction de salles de formation pour les artistes et de spectacles.
Pour Lazare Eloundou Assomo, l’Unesco a une vocation de promotion de culture. Il a rappelé que la célébration de la Journée internationale du jazz a eu lieu pour la première fois en 2011. Selon le représentant de l’Unesco, pour qui connaît Rokia Traoré, sa musique incarne la culture universelle. Il a promis que l’accompagnement de son institution à une telle initiative ne fera pas défaut.
Les festivités se dérouleront à l’espace culturel “La Passerelle”, à l’Institut français et au Palais de la culture avec des artistes comme Kar-Kar, Kassé Mady Diabaté, Djélimady Tounkara…
Zoumana Coulibaly