Le douloureux constat de la disparition de ces outils précieux pour la défense du pays avait été fait depuis le 21 avril dernier. Aussitôt, l’on annonçait l’interpellation de six (6) suspects. Mais les enquêtes ne faisaient que commencer.
A l’Etat – Major de la Garde Nationale et au Commissariat des Armées, ex – Intendance Militaire, l’on ne fermerait plus les yeux.
Car, selon des sources concordantes, les enquêtes mené des de mains de maîtres par les limiers de la Sécurité Militaire avanceraient positivement.
Pas plus tard que la semaine dernière, assure t – on, des éléments des deux services concernés défilaient devant les enquêteurs. Toutes les pistes seraient à répertorier. Vols d’armes au profil d’éventuels intégrés ? Actions déstabilisatrices ?
Pour l’heure, difficile de répondre. Il est question en tout cas de la disparition de dizaines d’armes de guerre dans les deux services.
Les faits, qualifiés de vols, avaient valu au Chef d’Etat- Major de la Garde, Colonel – Major Zoumana Diawara, une brève suspension de son poste. On l’a vu, par la suite, l’Etat – Major de l’Armée de Terre a changé de Chef. Et le département de tutelle a désormais un nouveau Secrétaire Général, en la personne du Général de Brigade, Salifou Koné.
Ceci expliquerait – il cela ?
B. Koné