Mise en place d’un bureau parallèle à la fédération nationale des exploitants forestiers : Encore Bakary Togola

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Publié le vendredi 20 mai 2016 | Sirène

© aBamako.com par mouhamar
Coopération Mali-Maroc : 17 conventions signées
Bamako, le 20 février 2014. La signature de conventions de partenariat entre les gouvernements et les opérateurs économiques du Mali et du Maroc, sur plusieurs secteurs d’activités identifiés, a eu lieu ce jeudi dans la salle des banquets du palais présidentiel.Photo: Bakary Togola.

Un bureau parallèle de la fédération nationale des exploitants forestiers du Mali a été mis en place par Bakary Togola. Et cela, à l’absence des textes de la dite structure.
Décidément, Bakary Togola est devenu l’homme à polémique de l’année. A peine coincé dans l’histoire qui l’oppose aux cotonculteurs, une autre pointe le nez qui l’incrimine à nouveau. Bakary Togola, puisque c’est de lui qu’il s’agit est encore cité dans une autre affaire à la fédération Nationale des exploitants forestiers. Selon une source proche du dossier, certaines personnes avec le soutien de Bakary Togola ont procédé le 11 Mai 2016, à la mise en place d’un bureau de la fédération Nationale des Exploitants Forestiers. Cette rencontre qui ne s’est pas passée dans les règles de l’art a vu la mise en place d’un nouveau bureau dirigé par Moussa Koné. Tidiane Sylla, qui serait légalement élu n’a pas n’a pas souhaité se prononcer sur la question pour l’instant.
Du camp de Moussa Koné, Tidiane Sylla est accusé par quelques membres du bureau d’avoir conclu un accord de partenariat avec l’Assemblée Permanente des Chambres de Métiers du Mali et l’usine « Général Industrie de Bois », sans l’avis des exploitants forestiers du Mali ; de l’accord N0085 en date du 14 avril 2016. Dans cette affaire qui risque de couler beaucoup d’encre et de salive dans les jours à venir, un doigt accusateur est pointé sur Bakary Togola, qui selon une source serait derrière le bureau de Moussa Koné. Si cette information s’avère vraie, il ya quoi se poser, à quoi joue celui qui est considéré comme un « wanted » par les cotonculteurs.

BDW