L’organisation de défense des droits de l’homme a dénoncé, ce vendredi 1er février, une vingtaine d’exécutions sommaires par l’armée malienne, après le début de l’intervention militaire. Dans son rapport, Amnesty International met également en cause l’aviation française sur un point précis : les bombardements effectués dans la ville de Konna, dans la nuit du jeudi au vendredi 11 janvier. Un raid aérien qui aurait tué, ce jour-là, au moins cinq civils, ce que dément l’état-major français. Amnesty demande l’ouverture d’une enquête.
A la veille du déplacement du président français François Hollande au Mali, une telle information fait « mauvais effet » combien même les autorités françaises démentent et disent vouloir jouer la transparence.... suite de l'article sur RFI