L’ouverture du procès devant la CPI d’Ahmad Al Faqi est prévue pour le 22 août, à La Haye, mais ceux avec qui il a fait régner la terreur à Tombouctou en 2012 semblent ne plus rien avoir à craindre.
Sanda Ould Boumama, l’ex-porte-parole d’Ansar Eddine, une des figures de la répression imposée par les jihadistes durant l’occupation ? Il est dans la nature depuis que les autorités mauritaniennes l’ont libéré à la surprise générale en août 2015.
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