La jeune chambre Internationale (JCI) de Bamako espoir en collaboration avec le club Amnesty International de l’ISPRIC ont organisé une journée de formation sur la bonne gouvernance, le samedi 1er février, à L’Institut des Sciences Politiques, des Relations Internationales et du Commerce (l’ISPRIC) de Bamako. La cérémonie qui a été très riche en couleurs a enregistré la présence de Monsieur Sidibé, le chargé des programmes à l’ISPRIC, Monsieur Paul Talfa directeur général de SONEF transport, Monsieur Madou Kandé, Monsieur Diallo Didi Kouakou (formateur du jour), Mademoiselle Virga et une foule d’étudiants venue pour l’occasion.
Après les protocoles habituels, mademoiselle Virga a lu le programme avant de donner la parole à Monsieur Sidibé qui, au nom de l’administration de l’ISPRIC, a souhaité la bienvenue aux uns et aux autres, et expliqué les missions de L’Institut des Sciences Politiques, des Relations Internationales et du Commerce (l’ISPRIC). ‘’Notre école qui n’est plus à présenter au Mali, en Afrique et dans le monde entier, a fait ses preuves. Nous nous sommes assigné comme mission, la formation des élites de demain qui ont la maitrise de l’excellence’’, a-t-il dit avant de céder la place au formateur Didi comme aiment à l’appeler ses intimes. Mademoiselle Virga nous a fait part de son curriculum vitae (CV). On aura appris qu’il est sénateur à vie, à la jeune chambre international (JCI) sous le N° 71.333. Ce grade, selon les adeptes, n’est pas attribué à qui le souhaite. Il faut des années de durs labeurs pour y arriver. Il serait également président exécutif nationale du JCI pour l’année 2012… Enfin l’homme a été si bien présenté, qu’il s’est écrié aussitôt qu’il a pris la parole : ‘’J’ai du mal à croire que c’est de moi qu’il s’agit’’. La séance de formation qui portait sur ‘’la bonne gouvernance’’ a duré deux heures. A la fin, nous avons recueilli le témoignage de quelques étudiants. ‘’Cette formation de deux heures est une vraie création de Didi. D’Habitude, c’est des formations de deux à trois jours qu’il anime, cela avec tous les équipements adaptés. C’est pourquoi, il n’est pas très convainquant aujourd’hui’’, a confié Monsieur T de la jeune chambre internationale. Selon un autre jeune qui fait des études en relation internationale à l’ISPRIC et qui a décidé de parler sous le sceau de l’anonymat : ‘’quand mademoiselle Virga nous a présenté Monsieur Didi Kouakou Diallo, j’étais très impatiente de le voir en action. Mais pour être sincère, il ne m’a pas convaincu. J’ai rien appris que je ne savais déjà. En plus, le formateur évite les questions qu’on lui pose…’’.
Par ailleurs ‘’Je suis très satisfaite de la qualité de la formation. J’ai appris pas mal de choses que j’ignorais. Je félicite l’initiative et souhaiterait qu’elle se multiplie’’, a dit une étudiante qui, elle, a été convaincue par Didi
