Dans un communiqué mercredi soir, le Parti pour la renaissance nationale (Parena, opposition), de l'ex-ministre Tiébilé Dramé, s'est dit préoccupé "devant la dégradation continue de la situation sécuritaire du Mali", aux "proportions alarmantes".
"Une trentaine de Maliens sont morts entre le 12 et le 19 juillet", soutient le Parena, citant cinq villes et localités du Nord et du Centre, sans cependant préciser les circonstances des faits : Gao, Doro, Didi, Nampala, Kidal.
"Le Mali est en danger. De toute évidence, l'exécutif est débordé", estime-t-il, invitant les autorités à "en tirer toutes les conséquences".