Les usagers du 2ème pont et certaines artères de la capitale sont condamnés au supplice que leur impose la traversée de cette route, dont l’intensité du trafic s’amplifie chaque jour davantage. Pour se rendre en famille ou au service, notamment aux heures de pointe, il faut s’armer de courage et prier que les quelques rares policiers qui jouent les facilitateurs ne manquent pas à l’appel.
Le stress qu’impose l’embouteillage éprouve les nerfs et induit des retards autant dans les services publics que dans diverses activités dans la capitale. Le phénomène ne date pas d’aujourd’hui, mais il semble que toute thérapie contre le mal est vouée à l’échec. Est-ce qu’il s’agit d’un manque de volonté politique ? Ou doit-on en déduire une certaine impuissance du ministère des Transports à y trouver une solution.