Ça, c'est le comble ! Il va falloir nous dire, dire au peuple malien, si Kidal fait encore partie de la République du Mali dans ses frontières internationalement reconnues depuis son accession à la souveraineté nationale et internationale, par les Nations-Unies, réaffirmées par les différentes résolutions du Conseil de sécurité de l'organisation internationale adoptées depuis le début de la crise multidimensionnelle qui a frappé notre pays. Il est clair et avéré maintenant de manière officielle que Kidal est un sanctuaire protégé avec ses bandits armés, ses terroristes et ses jihadistes, par la Minusma avec des moyens conséquents, des soldats, une surveillance aérienne (des hélicoptères Apaches). Pourquoi ? Qu’y a-t-il donc à Kidal ? Dans le même temps, la Minusma et les forces internationales
ne font rien pour empêcher les bandits armés, terroristes et jihadistes qui partent de Kidal, base-arrière de tous les malheurs de la République, pour aller attaquer Gao, Tombouctou, Ménaka... Dès lors, il est aisé de comprendre le comportement des bandits armés qui se permettent tout et n'importe quoi, en faisant de la surenchère sans limites, car ils savent qu'ils ne craignent rien, bénéficiant de la protection des forces ci-dessus mentionnées. À partir de ce constat, il s'agit pour le Mali d'être stratège pour reconquérir son territoire de Kidal et pour l'instant, il faudrait comprendre que c'est une
véritable impasse...