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Mali: trois partis quittent la majorité présidentielle
Publié le jeudi 25 aout 2016  |  RFI
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© aBamako.com par Momo
Atelier d` information et de formation des parlementaires maliens sur les instruments internationaux et régionaux pour éliminer les violences faites aux femmes et aux filles.
Bamako, le 12 décembre 2014. Honorable Amadou THIAM a présidé la cérémonie d` ouverture de l`Atelier d` information et de formation des parlementaires maliens sur les instruments internationaux et régionaux et le cadre législatif national pour éliminer les violences faites aux femmes et aux filles, qui se tiendra du 12 au 13 décembre.




Trois partis politiques maliens claquent la porte de la majorité présidentielle. Ils évoquent des questions de mauvaise gouvernance, d’absence de concertation, et pointent du doigt la politique gouvernementale pour le retour de la paix dans le Nord.

Les trois formations politiques maliennes ayant claqué la porte accusent la convention qui regroupe les partis de la majorité présidentielle d’être devenue une coquille vide.

Amadou Thiam est président du parti Alliance démocratique pour la paix, ADP-Mali, l’un des partis qui ont quitté la mouvance présidentielle. « La convention de la majorité présidentielle a échoué à faire de son cadre un cadre de concertation, de débat politique, démocratique, sur les questions d’intérêt national. »

Autre grief : la gouvernance actuelle. « Il y a un éloignement considérable de la gouvernance actuelle avec les engagements de 2013, quand le président IBK a été élu », estime Amadou Thiam, qui est aussi le deuxième vice-président de l’Assemblée nationale.

La gestion du dossier Nord du Mali par le gouvernement pose aussi problème pour les démissionnaires. « Un papier, une signature n’amènent pas la paix. Dans la mise en œuvre de cet accord de paix, il y a une crainte qui est là, et qui continue à prolonger la souffrance des Maliens. »
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