Pour apporter son soutien au Gouvernement du Mali dans le cadre de la cadre de la conservation de la nature, la SONATAM a organisé , le vendredi 19 Aout dernier, une journée de participation à la restauration de la couverture végétale sur son site à Sotuba, non loin du 3ème point de Bamako, coprésidée par le Ministre de l’environnement de l’assainissement et du développement durable, Mme Keita Aida M’Bo et le ministre de l’industrie, Mohamed Aly Ag Ibrahim. Voici les impressions du Directeur régional des Eaux et Forêts du district de Bamako, le commandant Ousmane Sidibé , à propos de cette journée de reboisement.
Apres le forage de Banconi et la campagne de reboisement de l’année dernière, sans compter les dons de sang et d’autres activités citoyennes, la SONATAM prouve une fois de plus sa citoyenneté et son souci de contribuer efficacement au développement du Mali. En effet les arbres plantés sont au nombre de 2500 pieds d’arbre composés de Flamboyant, l’eucalyptus et le Henné dans un espace de 1500m carrés, entouré par des fils de fer barbelés, pour un montant de huit millions (8 000 000) de FCFA.
C’est visiblement heureux que le Directeur régional des Eaux et forêts du district de Bamako, a remercié la SONATAM pour cette belle initiative qui n’est pas la première du genre. ‘’La SONATAM est une entreprise citoyenne qui contribue beaucoup au développement du Mali’’, a-t-il reconnu. A ses dires, cette initiative de la Sonatam fait partie de nos activités les plus réussies, à un taux de 93% . Il n’y a pas une société qui fait mieux que la Sonatam en matière de reboisement, a-t-il dit. « L’arbre c’est la vie sans arbre il n’y a pas de vie. Celui qui plante un arbre contribue au développement de la nation », a-t-il déclaré.
Selon lui pour qu’il ait agriculture, il faut l’arbre, pour qu’il ait eau, il faut la végétation, donc raison pour laquelle la Sonatam contribue inlassablement au développement durable du Mali. Il a ajouté que parfois la contribution de cette société va au -delà de nos attentes, dans la mesure où elle fait du reboisement sécurisé, en procédant à un mécanisme de suivi avec les eaux et forêts, qui consiste à arroser et remplacer les plants morts.
Il a encouragé les autres sociétés de la place, en particulier et tous les Maliens en général, à aller dans ce sens, en vue de lutter contre la pollution de l’atmosphère. Et d’ajouter : « Il nous faut des moyens pour séquestrer les gaz à effet de serre. C’est une manière pour nous de s’adapter aux effets néfastes du changement climatique ».
A C
Source: Malisadio