Il est connu de tous que les hommes feront tous les sacrifices possibles, pour plaire aux femmes qui les intéressent. Certains hommes agissent parfois même comme des enfants, quand ils sont vraiment amoureux et cela peut souvent leur coûter cher. Ce n’est pas mauvais de se faire plaire auprès d’une femme, mais en faire trop, vous rend ”stupide”.
En tant qu’homme, vous devez être assez intelligent pour lire entre les lignes, pour savoir ce qui est favorable et ce qui ne l’est pas pour vous. Il n’est pas dit que vous ne devriez pas être romantique, c’est une bonne chose d’être romantique, mais pas à votre détriment et vous devez savoir que ce n’est pas parce que vous agissez au nom de l’amour que c’est forcément une bonne chose. Plusieurs points ont été énumérés ci-dessous, dont vous devriez autant que possible éviter ou ne jamais être tentés de faire pour une femme, quel que soit le degré d’amour.
1. Voler pour une femme
De toute évidence, nous savons tous où cela va vous conduire et le temps que vous serez de retour, quelqu’un aurait déjà pris votre place. Ne laissez rien vous pousser à voler afin de plaire à votre femme parce que si elle découvre plus tard que vous avez réellement volé un cadeau pour elle, elle pourrait vous laisser tomber, à moins, bien sûr, que vous viviez comme Bonny and Clyde.
2. Vouloir acheter une maison pour une femme pendant que vous n’en avez pas
Le bon sens devrait vous guider, vous devez construire vos rêves ensemble, mais pas la favoriser et de penser à vous plus tard. Construire une maison pour une femme, lorsque vous-même qui la faites construire n’en possédez pas, peut vous être préjudiciable dans l’avenir et dans tous les sens.
3. Vous battre avec un autre homme à cause d’une femme
Vous battre avec un autre homme à cause d’une femme ne prouve rien. Deux choses sont susceptibles de se produire, soit la personne vous bat tellement que vous vous retrouverez à l’hôpital, ou vous battez la personne et finissez derrière les barreaux, de toute façon, vous ne gagnez pas. À moins que ce soit pour l’auto-défense.
4. Rejeter votre famille pour une femme
Une famille contribue énormément dans l’équilibre social d’un homme. C’est pourquoi peu importe l’amour ressenti, vous ne pouvez pas les rejeter parce que votre femme ne les aime pas. Ce sera très dangereux de votre part de rejeter votre famille à cause d’une femme.
5. Vous faire passer pour ce que vous n’êtes pas
De nos jours, il y a beaucoup d’hommes qui en font un peu trop, en prenant des médicaments pour apporter des modifications à leur corps parce qu’ils estiment que c’est ce que les femmes aiment. Vous changer pour vous plaire auprès d’une femme signifie que le jour où vous allez arrêter de changer votre apparence, elle s’en ira.
6. Laissez tomber vos rêves pour faire plaisir à une femme
Beaucoup d’hommes ont ce défaut de renoncer à leurs rêves pour aider leur femme à réaliser les leurs, ou se laissent influencer ou décourager par des femmes, par amour selon eux. Ces mêmes femmes qui vous mettent dans ces situations, vous quitteront par la suite, après avoir réalisé leurs rêves. Ne jamais faire cela après avoir lu cet article.
7. Être trop soumis
Il est agréable d’être doux avec votre femme, mais toujours apprendre à mettre les pendules à l’heure et ne pas essayer de paraître toujours faible pour elle et succomber à tous ses désirs dans l’intention de lui plaire. La vérité est que les femmes détestent réellement les hommes faibles et préfèrent que vous soyez doux et parfois durs aussi.
8. Vous affamer pour une femme
Ne jamais perdre toute votre nourriture pour elle. Pensez au moins, à la partager avec elle, mais de là, à tout lui donner et rester avec la faim, n’est pas de l’amour, mais plutôt de la stupidité.
9. Tuer pour une femme
Ne jamais penser à une telle horreur, pour une femme, quels que soient les arguments incitatifs qu’elle vous donnera, parce que si vous vous retrouvez en prison, un autre homme prendra votre place.
10. Mourir littéralement pour une femme
Tant d’hommes se sont suicidés à cause d’une femme. Quel est le sens de votre combat, quand vous serez mort et disparu. Sachez plutôt vous ressaisir et surmonter la douleur. Car le plus beau reste à venir. Vivez pour combattre un autre jour. Les raisons citées ci-dessus semblent drôles, mais elles restent vraies. Alors, pensez-y chers, hommes !
Source : Afrikmag
Pour en savoir davantage sur la réglementation de ce pan de l’activité financière qu’est la microfinance au Mali, un expert dans le domaine nous explique que,
le secteur des microfinances est régi au Mali par la loi n° 94-040 du 30 juin 1994 ; qui se situe dans le cadre de loi l’orientation communautaire (de l’UEMOA), dite loi PARMEC.
« Ce texte définit les conditions d’octroi, l’autorisation d’exercice du métier (microfinance), les mécanismes de surveillance et de contrôle de l’Etat et les sanctions en cas de non respect de la réglementation », indique-t-il avant de préciser : “Nul n’a le droit de mener des activités de microfinance sans l’autorisation formelle du ministère des Finances”.
Toutefois, souligne notre interlocuteur, “avant l’adoption de la loi susvisée, il y avait un certain nombre de structures qui exerçaient déjà. Il a donc fallu leur délivrer des “agréments d’office”, pour ainsi mener ensuite une surveillance accrue, afin qu’elles se conforment aux exigences de cette loi et de ses décrets d’application. Or, les textes ne prévoient pas cette régularisation rétroactive de ces institutions de microfinance”.
En outre, regrette-t-il, bien de caisses d’épargne et de crédit se créent aujourd’hui en violation flagrante de la loi.
Quelles dispositions, l’Etat Malien a-t-il prises pour gérer les situations de faillite ?
Un contrôle trop laxiste
L’articule 58 de la loi de 1994 dispose que « le contrôle et la surveillance (de ces structures de microfinance) porte sur tous les aspects touchant à l’organisation et au fonctionnement de ces institutions et des organes financiers… »
Mais, dans la réalité, le contrôle de l’Etat, se fait toujours attendre ; ou en tout cas, n’est pas à hauteur de souhait.
C’est ainsi qu’au niveau de certaines caisses, la pratique des crédits fictifs, des dépenses d’investissement engagées sur les fonds des adhérents et autres malversations, conduisent ces institutions dans le gouffre.
Conséquence : des cessations de payement, dont le risque est fort élevé dans ce secteur.
En outre, dans nombre de ces structures de microfinance, une concurrence malsaine et déloyale est menée grâce à des taux d’intérêts plus ou moins élevés, visant seulement à attirer la clientèle d’autres caisses, etc.
Ainsi, dans le secteur de la microfinance de notre pays, c’est la loi de la jungle qui prévaut ; sans que l’Etat arrive à y mettre de l’ordre.
Or, la réglementation du secteur des microfinances est très délicate du fait que, c’est un domaine sensible par ses incidences sur la situation socio-politique nationale.
Les caisses sont en effet implantées pour aider les populations à lutter contre la pauvreté ; mais également, ce sont des structures qui constituent de grands enjeux pour les pouvoirs locaux et décentralisés, ou ceux qui ambitionnent d’y accéder et qui font des promesses dans ce sens.
Tout compte fait, la loi n° 94-040 du 30 juin 1994 dispose clairement en son article 66 que « le ministre (des finances) peut procéder ou faire procéder à tout contrôle des institutions (de microfinance) ».
Hélas, ces contrôles demeurent de nos jours forts timides, sinon inexistants.
Malick Camara