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Des casques bleus au Mali d’ici à trois semaines
Publié le mercredi 13 fevrier 2013  |  LeMonde.fr


© Autre presse par DR
Hervé Ladsous


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Le Conseil de sécurité des Nations unies devrait parvenir dans un délai de deux à trois semaines à un accord sur le déploiement de casques bleus au Mali, a déclaré Hervé Ladsous, secrétaire général adjoint de l’ONU aux opérations de maintien de la paix, mardi 12 février. Le déploiement de la force onusienne devrait se faire avant les élections, prévues au plus tard le 31 juillet, censées rétablir un pouvoir civil démocratiquement élu au Mali après le coup d’Etat militaire de mars 2012, a-t-il précisé.

Les casques bleus déployés au Mali pourraient être environ six mille, mais leur nombre dépendra de celui de la Misma, censée compter huit mille soldats à terme. Le déploiement d’une force de maintien de la paix de l’ONU nécessite une résolution du Conseil de sécurité mais aussi l’accord des autorités maliennes. Ces dernières se sont montrées réticentes jusqu’à présent, de crainte qu’un tel déploiement n’entérine une partition de fait du Mali, à l’image du Soudan. Les modalités de la collaboration entre cette force de l’ONU et la Misma, la force africaine sous mandat onusien, restent à définir.

DES OBSERVATEURS POUR ÉVITER UN CYCLE DES REPRÉSAILLES

La Haute-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, Navi Pillay, a lancé mardi un appel solennel à tous les protagonistes du conflit malien pour qu’ils ’empêchent les représailles’. ’Les attaques et les ripostes risquent d’entraîner le Mali dans une spirale de violence catastrophique’, a déclaré Mme Pillay devant le Conseil de sécurité, qui débattait de la protection des civils dans les conflits armés.

Des associations de défense des droits de l’homme ont accusé les troupes gouvernementales maliennes, qui ont repris le contrôle du nord du Mali aux côtés des forces françaises, de s’en prendre aux civils d’origine arabe ou touareg, soupçonnés d’être complices des islamistes.
>> ’Plusieurs ONG s’inquiètent des exactions (...)
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