Le Mali revient de loin. Après les événements malheureux et malencontreux de 2012. Notre pays a besoin de plusieurs Aliou Boubacar Diallo pour retrouver toute sa souveraineté, politique qu'économique. Alors, à chacun de jouer sa partition. Déjà, ce patriote engagé qui ne jure que par le Mali a ouvert la brèche. A travers sa mine d'or, il a investi 26 milliards de nos francs pour le redressement de notre économie.
Au Mali, il y a des hommes, des patriotes qui ne demandent qu'à être soutenus et rassurés par l'Etat. Afin qu'ils puissent jouer pleinement leur rôle pour le développement harmonieux de leur mère patrie, le Mali.
Parmi ces hommes, il y a un certain Aliou Boubacar Diallo, PDG de Wassoul'Or. Convaincu de son patriotisme, les négriers (nos anciennes colonies) tentent toujours de le déstabiliser, de le détruire et pire à travers nous-mêmes. N'est-il pas temps pour nous d'ouvrir grandement nos yeux, de réfléchir autrement ? Nous pensons que nous devrions savoir faire la part des choses en n'acceptant plus le jeu des petits blancs qui ne visent que leurs seuls intérêts.
Qu'à cela ne tienne, face à toute leur adversité, M. Diallo s'en sort très bien pour son pays. La preuve, " Wassoul'Or a investi 26 Milliards pour reprendre l'activité d'ici la fin 2016 ", a indiqué le PDG Diallo. Intervenant sur une chaine privée africaine, il dit que : " Ce n'est pas facile d'investir dans le secteur minier car l'accès au financement est très complexe mais nous avons tout de même réussi à lever plus de 26 Milliards." Toute chose qui prouve son sens des affaires et son engagement à remettre son pays sur les rails. Afin qu'il revienne dans le concert des Nations.
Au même titre que tous les acteurs politiques ou économiques, il a été touché par les événements tragiques de 2012 dans notre pays. Il l'aborde ainsi : "Quand il y a eu les évènements de 2012, l'opérateur canadien a abandonné le site conduisant à des problèmes d'opération. Or, le contrat avec l'opérateur canadien stipulait qu'il concevait la mine et l'opérait le temps de former le personnel malien sur le site." Malgré tout, le PDG Diallo affirme : "Nous avons apuré tous les 13 milliards d'arriérés de paiements et nous avons investi 13 milliards supplémentaires pour le redémarrage de la mine." C'est dire qu'il s'est sacrifié pour sa patrie à qui il indique qu'il doit tout.
Véritable combattant et chercheur invétéré, il indique : " Nous maîtrisons totalement la géologie et nous connaissons où se trouvent les zones en teneurs d'or les plus prometteuses." D'où pour lui, " Nous sommes concentrés sur le site principal de Kodiéran et nous allons respecter nos objectifs de production et les chiffres communiqués à l'Etat. "
Pour pouvoir parvenir à ses fins, il révèle : "Nous avons acheté beaucoup d'équipements neufs et des australiens, des canadiens et des sud-africains sont venus. Maintenant nous sommes prêts ! Nous avons des objectifs de production de près de 6 tonnes par an."
Les négriers cherchent à le nuire :
" C'est de l'intox de la part de Pearl Gold. Il y avait un actionnaire minoritaire de Pearl Gold du nom de Michael Reza Pacha qui avait pris du pouvoir dans la Société pour prendre le contrôle de Wassoul'Or mais ça n'a pas marché. Il a perdu 3 procès en Allemagne et d'autres au Mali. Mr Pacha a été relevé de ses fonctions et il fait face à deux procédures pénales car il a toujours nié le droit.", a-t-il indiqué répondant aux manœuvres de diversion de Mediapart. Toujours dans le même volet, il précise : "C'est moi qui ai créé Pearl Gold en Allemagne lorsque je voulais coter ma mine en bourse. Actuellement, je suis l'un des gros actionnaires de Pearl Gold avec plus de 20%."
Plus de 500 employés sur le site :
"La réalité c'est que nous avançons. Nous avons plus de 500 employés sur le site, nous avons des accords avec tous nos fournisseurs et nous n'avons aucun centime d'arriéré de paiement.", a martelé le PDG DIALLO. Il est ferme et précis dans ses propos pour mettre à nue les manœuvres de déstabilisation des négriers : "Je n'ai jamais eu un marché de l'Etat du Mali à fortiori un contrat militaire et l'Etat du Mali peut certifier que c'est faux. Je ne vais encore moins servir d'intermédiaire entre Airbus et le Mali dans un quelconque marché militaire. C'est de la pure intox qui me fait plus sourire qu'autre chose."
Impact social de Wassoul'Or :
Pour lui, "Il ne faut pas oublier que nous avons investi plus d'un milliard dans le social. Nous avons construit des mosquées, des écoles, des ponts et des digues de retenue d'eau. Nous pensons à la mine et à l'après-mine, c'est pourquoi nous faisons tout pour que la mine soit bien intégrée à son environnement. "
L'homme et la politique :
Il dit ceci : "En 2012, l'engagement d'un malien en politique était naturel car nous vivions une époque qui ressemblait à la période de l'occupation en France. Nous avions résisté à l'occupant sur le terrain social et économique mais cela ne suffisait plus. En 2012, quel que soit la couche sociale, tout le monde s'est mis dans la politique pour résister à ce qui s'est passé et pour dire : PLUS JAMAIS CA !". Trop pris et très chargé, il a ôté une camisole. D'où son retrait de la tête de son parti. Il affirme : "Depuis le Congrès de 2015, je ne suis plus le Président du Parti, je reste un Président d'Honneur comme l'ont souhaité les militants et à ce titre on m'informe de ce qui se passe dans le Parti."
Le parti claque la porte de la majorité :
Sur ce sujet, il est clair : "Les militants ont saisi le Comité Exécutif pour que le Parti se retire de la Majorité Présidentielle. Ce retrait s'est produit après une consultation élargie de la base. Il n'y a eu aucune instruction de ma part." Il persiste et signe qu'il y a certainement des raisons valables et palpables. Alors, il martèle : "Il y avait une vision très forte du candidat IBK qui avait séduit les militants et au bout de trois ans, ils ont tiré le bilan. J'ai trouvé que c'était une décision très courageuse de la part des jeunes qui dirigent le parti car c'était une manifestation évidente de la démocratie."
Relation avec le Chérif de Nioro
Il indique toute sa fierté. Il indique : "Nous sommes très fier de nos relations avec le Chérif de Nioro. Vu que l'aventure avait commencé avec lui pour soutenir le candidat Ibrahim Boubacar Kéïta, quand les jeunes ont voulu se retirer de la Majorité, j'ai jugé nécessaire d'informer le Chérif de Nioro. Sa réaction a été : c'est normal que vous le fassiez, vous auriez dû le faire bien plus tôt, je suis avec vous et mes prières vous accompagnent." Qu'à cela ne tienne, très courtisé aujourd'hui sur l'échiquier politique national, le parti ADP-MALIBA doit se positionner. Ceci ne va pas tarder si l'on s'en tient à cette déclaration du président d'honneur : "Le Parti va tenir une conférence nationale pour redéfinir son cap qui est et restera pour le Mali." Enfin, M. Diallo prie pour le Mali : "Je formule le vœux que la paix revienne au Mali. Je formule le vœu que la paix et la réconciliation se fasse au Mali car sans paix durable il ne saurait y avoir de développement durable."