KOULIKORO : plus de 200 femmes travaillent dans le secteur d’extraction du sable et gravier. Ces femmes qui se disent victimes de la mauvaise organisation du secteur, réclament l’implication des autorités pour la défense de leur droit.
KITA: Une session de recyclage de plus de trente directeurs techniques des centres de santé communautaires sur les techniques de l’accouchement sécurisé a débuté ce vendredi 23 septembre. Cette rencontre a pour but d’améliorer la santé du couple mère-enfant. La session est organisée par le CSREF de Kita à travers le financement de l’USAID qui intervient dans la région depuis 2009.
SIKASSO : le ministère de l’environnement, de l’assainissement et du développement durable en collaboration avec le PNUD a organisé ce vendredi une réunion extraordinaire du comité national de pilotage du projet « Gestion durable des terres et des eaux ». L’objectif de cette rencontre selon les participants est d’accroître l’utilisation des pratiques de gestion durable des terres et des eaux afin de réduire leur dégradation dans la région de Sikasso et Mopti. Après la rencontre, le ministre de l’environnement a remis 6 Motos de marque Yamaha aux différents points focaux du projet de la localité.
YOROSSO : dans le cadre de la prévention du paludisme saisonnier, le 3e tour de la campagne de prévention a commencé ce samedi 24 septembre. Plus de 53. 000 enfants âgés de 3 à 59 mois vont recevoir des doses de médicaments antipaludéens. Cette campagne de 5 jours est financée par l’UNICEF.
SORTIE DE CRISE: La Communauté Internationale et la Médiation exigent l’application de l’accord
Les Nations Unies ont accueilli une réunion ministérielle sur la mise en œuvre de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali le 23 septembre dernier. L’événement a rassemblé les membres de la médiation internationale (l’Algérie, le Burkina Faso, la communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), la Mauritanie, les Nations Unies, le Niger, l’organisation de la coopération islamique, le Tchad, l’union africaine, l’union européenne ainsi que les membres du Conseil de sécurité.
Après son ouverture par le président du Mali et le Secrétaire général des Nations Unies, la rencontre a condamné les récentes violations du cessez-le-feu par les groupes armés signataires avant d’exhorter le Gouvernement du Mali et les autres parties à traduire leurs engagements en actions immédiates et concrètes. Pour le président du Mali « des projets tangibles ont été réalisés pour la mise en œuvre rapide de l’accord de paix mais beaucoup reste à faire car selon lui plusieurs facteurs contraries la volonté et les efforts du gouvernement Malien.