Installé dans sa ville natale, Kita, depuis la fin de ses études en 1988 à l’IPR de Katibougou où il a décroché un diplôme d’ingénieur des sciences appliquées, Fodé Cissé n’est plus à présenter à la population de Kita pour ses nombreuses réalisations dans le cadre du développement et la création d’emploi dans le seul but de contribuer à l’émergence de son cercle. Candidat aux élections municipales à venir, Dr Cissé entend partager son expérience et son savoir-faire avec la population de la commune urbaine de Kita. Le développement de la capitale de l’arachide est au cœur des actions de cet ingénieur, contrairement à d’autres cadres. Immersion dans l’univers de cet opérateur économique pas comme les autres.
S’installer à son propre compte dans sa ville natale afin d’apporter son expérience à sa population, telle était la vision de Dr Fodé Cissé, dès le bas âge. C’est ce qui lui réussit tôt grâce à l’envie, la détermination et le courage. Ce pari, il l’a gagné en initiant d’énormes infrastructures de développement à Kita. Ingénieur vétérinaire de son état, en fin d’études, il commença sa carrière par le bénévolat dans le district vétérinaire de Bamako où il était chargé du suivi sanitaire et prophylactique des animaux avec un accent sur les animaux de compagnie.
Aussi, il a été un agent anti-divagation des animaux à Bamako. Jeune et maîtrisant bien son domaine, il réussit quelques années après, à participer à une conférence internationale dans son domaine à Yamoussokro (Côte d’Ivoire) où il fait un brillant exposé qui séduit et émerveille les participants venus de plusieurs continents. Le jeune Fodé est courtisé par de nombreux participants africains et européens. Ce fut un déclic pour l’approfondissement de sa formation. Il s’envole en Belgique où il obtint un Master en Santé et production animale. A son retour au Mali, il décide d’opérationnaliser son ambition qui est de mettre ses connaissances au service du développement de Kita et ses environs.
Avec la privatisation de la profession vétérinaire au Mali, il crée la Société d’Intérêts Collectifs pour la Promotion de l’Elevage (SICOPE) le 5 juillet 1991. Cette société s’occupe depuis sa création des questions animales dans le cercle de Kita avec à la clé, de nombreux emplois pour les jeunes.
Acteur du développement, Dr Fodé explore d’autres horizons notamment l’éducation et la formation des jeunes. Avec son expérience de l’IPR de Katibougou, il crée un Centre de formation agropastoral dénommé Centre de Formation Polytechnique Rural de Kita (CFPR-K) en 2000. Malgré les difficultés, Dr Fodé Cissé a su travailler pour faire de ce centre une référence en matière de Centres agro-sylvo-pastoraux au Mali. Il concilie harmonieusement la théorie et la pratique dans le processus de transmission des savoirs et des savoir-faire. Soucieux de la production agricole dans sa localité, Fodé Cissé songe à soutenir les paysans. Ainsi, il initie un programme qu’il appelle ‘’Programme SOS bœufs de labour’’ (Sènèkèla Jigi). Cela, dans le but de rendre les bœufs de labour plus performants, plus sains et aptes à aborder l’hivernage avec vigueur. A travers ce programme, les bœufs de labour bénéficient d’un suivi et d’une assistance sanitaire. Ce programme a été apprécié à sa juste valeur par les paysans qui témoignent avoir connu une augmentation de leurs productivités en un temps record. A toutes ces réalisations, s’ajoutent la construction de l’hôtel Nelson Mandela, le Globe international de Kita avec en son sein une agence de voyage et une auto-école dénommée ‘’La Prudence’’. Une autre action non des moindres, c’est l’organisation et la formation de centaines de femmes dans les techniques de transformation des produits locaux. Créateur d’emploi, ces réalisations contribuent au développement de Kita et environs.
Pour consolider ces acquis et ouvrir de nouveaux chantiers pour le bien des populations, Dr Fodé Cissé est aujourd’hui candidat aux élections municipales de sa ville. Tête de la liste IFD-CNID, Dr Fodé Cissé s’impose aujourd’hui comme l’homme de la solution au développement de la capitale de l’arachide afin de faire de la commune urbaine de Kita, l’une des plus enviées de la première région.