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Démissions en masses au sein de l’association Nièta : La fausse veuve, Dicko Issa Touré en cabale contre ses désormais ex-membres
Publié le jeudi 13 octobre 2016  |  Le Pays
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Dans notre parution n° 168 du lundi 3 octobre, nous titrons : « Association des veuves de militaires de kalaban Coro : La fausse veuve Dicko Issa Touré arnaque les généreux donateurs ». La tournure que prend cette affaire qui domine l’actualité et les agissements de la fausse veuve du gendarme Souleymane Diamoutène nous donnent l’impression de vivre un véritable film gangster des années 90.
En effet, la dame avait plusieurs tours dans son sac. Car après la gestion peu orthodoxe des fonds du généreux donateur, Diadié Sangaré, plusieurs de ses militantes ont démissionné.
La fausse veuve, Dicko Issa Touré ou encore Aïssata Dicko Issa Touré pour asseoir son leadership, a mis en place un escadron composé de femmes encore acquises à sa cause et qu’elle entretient certainement avec les fonds frauduleusement acquis sur la donation de Diadié Sangaré afin de se lancer à la recherche de toutes celles qui ont osé s’opposer à sa volonté de continuer à soutirer de l’argent au nom des veuves.
Cette ‘’brigade’’ a effectué sa dernière descente, le mercredi 5 octobre dernier. À bord de deux motos-tricycles, elles ont sillonné tout le quartier de Kalabancoro à la recherche de certaines démissionnaires dans le seul dessein de les agresser pour avoir quitté l’association. La question qui taraude l’esprit du Malien lambda est de savoir comment la femme d’un gendarme peut-elle se comporter de la sorte? Est-elle au-dessus de la loi ? Kalabancoro est-il en dehors de la République ?
De sources proches du dossier, la brigade de la gendarmerie de Kalabancoro a été alertée du projet de la fausse veuve du gendarme Souleymane Diamoutèné de vouloir en découdre avec toutes les femmes qui ont démissionné de son organisation. Malgré cet état de fait, les limiers n’ont pas levé le petit doigt. En tout cas, si rien n’est fait, il existe un énorme risque d’affrontement entre cette bande et les femmes démissionnaires.
Affaire à suivre…
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