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L’UA salue les développements encourageants observés au Mali
Publié le mercredi 25 avril 2012   |  Autre presse




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L’Union africaine (UA) a salué les développements encourageants récemment observés au Mali en matière de rétablissement de l’ordre constitutionnel, notamment la signature d’un accord-cadre et la nomination de nouveaux hauts fonctionnaires.

L’UA a fait cette déclaration mardi à l’issue d’une réunion ministérielle du Conseil de paix et de sécurité de l’UA (CPS), qui se tenait au siège de l’UA à Addis-Abeba, en Ethiopie.

Le CPS se félicite des progrès encourageants observés au Mali concernant le rétablissement de l’ordre constitutionnel, tels que la signature le 6 avril d’un « Accord-cadre pour l’application de l’Engagement solennel du 1er avril 2012″, ou la nomination d’un président par intérim, Dioncounda Traoré, et d’un Premier Ministre de transition, Cheick Modibo Diarra, a déclaré lors de la lecture du communiqué Ramtane Lamamra, commissaire de l’UA pour la paix et la sécurité.

Préoccupé par les récentes arrestations de personnalités politiques et militaires, le CPS a rappelé que le respect scrupuleux des libertés civiles était impératif, et a condamné fermement toute tentative qui viserait à intimider ou à harceler les personnalités politiques, civiles et militaires, selon le communiqué.

Le CPS a également demandé au Comité national pour le redressement de la démocratie et la restauration de l’Etat (CNRDRE) de s’abstenir de toute ingérence dans la vie politique du pays, compte tenu de la nécessité de respecter de manière stricte les prérogatives des institutions civiles, afin de garantir le maintien d’un ordre constitutionnel.

Le CPS a également souligné la nécessité urgente pour toutes les parties qui collaborent avec la CEDEAO et le Médiateur au Mali de résoudre les questions en suspens, en particulier l’organisation et la durée de la transition, ainsi que les prérogatives qui seront accordées aux différents organes de transition après l’expiration de la date limite de 40 jours prévue par l’article 36 de la Constitution de février 1992 pour éviter un vide constitutionnel au Mali, déclare le communiqué.

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