Le Centre de Perfectionnement et de Formation Hôtelière (CPFH), un établissement privé d’enseignement secondaire, supérieur du complexe scolaire et universitaire Gakou, a effectué le 24 octobre 2016, sa rentrée académique 2016-2017. C’était au siège du CPFH à Niamakoro, en présence du Directeur général du complexe scolaire et universitaire Gakou, Mohamed Gakou, ses proches collaborateurs, l’honorable Aissata Haidara, présidente commission éducation de l’Assemblée nationale, la directrice générale du CPFH, Mme N’Diaye Fatoumata Tankara, le personnel enseignant, administratif, les parents d’élèves, étudiants.
Pour développer ce thème, la directrice du CPFH a rappeler que c’est pour faire face à un vide que son centre a été crée il y a 20 ans avec comme objectif de doter les étudiants d’une formation qui leur permet d’avoir une grande chance sur le marché de l’emploi, mais aussi de pouvoir créer leur propre entreprise juste après la formation terminée. Des filières courtes de trois ans comme la délégation médicale, le marketing, l’informatique, l’hôtellerie, l’animation socio culturelle, sont dispensées au étudiants en théorie (30%) et en pratique (70% avec des voyages d’études).
Notre vision, dit-elle, est de cultiver l’entreprenariat chez nos jeunes apprenants en leur inculquer l’esprit entrepreneurial. Au CPFH, l’on estime qu’il ne sert à rien d’étudier est de rester à dormir ou faire toute la journée du thé. Avec le CPFH, ajoute la directrice, c’est l’emploi direct à la sortie. «Avec plus 2.500 000 chômeurs aujourd’hui dans notre pays, il est important de faire le choix du CPFH pour éviter le chômage », ajoute la DG du centre.
Le Directeur général du complexe scolaire et universitaire Gakou, Mohamed Gakou a promis que le centre mettra encore tous les outils nécessaires à la disposition des apprenants pour leur permettre de prendre rapidement leur autonomie après leur sortie. Le centre a accueilli gratuitement dix boursiers et dix demi boursiers pour leur faciliter l’apprentissage. Crée en 1996, CPFH se distingue par sa politique de cultiver le travail indépendant en formation des élites capables de prendre en main leur destin.