Les soldats du Mali et de la France devraient travailler la main dans la main, en attendant le renfort des troupes africaines, dans la lutte contre les djihadistes. Mais la désorganisation de l’armée malienne et les accusations d’exactions qui pèsent sur elle jettent un sérieux trouble.
Dans les relations entre les armées malienne et française, il y a un "avant" et un "après" dimanche 9 février. Ce jour-là, les militaires ont subi une attaque de djihadistes, plusieurs heures durant, dans le coeur de Gao, une ville dans l’est du Mali, libérée deux semaines plus tôt. Après quelques heures, l’armée française a fini par bombarder le commissariat de la ville, ex-siège de la "police islamique", où s’étaient retranchés des djihadistes armés.... suite de l'article sur L’Express