Les difficultés des communes du Mali sont connues et les populations n’espèrent qu’avoir les hommes qui leur offrent des solutions concrètes. Le quartier San fil, en commune II du district de Bamako, a reçu les promesses et les actes de l’honorable Hady Niagandou.
Devant une assistance venue en nombre ce samedi après-midi au San fil, les discours ont été nombreux. L’honorable de la commune II était en compagnie du député de Koro (Djibi Diarra Oumar Traoré, Abdramane Traoré, Mambi Doumbia et Bakary Cissé.
Marché, mosquée, lieu de loisirs et bien d’autres préoccupations, les doléances n’ont pas manqué de réponses. Mohamed Koita, secrétaire général du collectif des jeunes de San fil, a rappelé l’éclairage public et l’aménagement des caniveaux de la rue 781 entièrement financés par l’honorable Niagando. Il a également demandé la clôture de leur terrain de basket.
Les notabilités, les responsables religieux, les représentants des jeunes et des femmes, les autorités communales, chacun a soulevé ses difficultés. L’imam Baba Sylla, a posé le problème de la première mosquée que Hady Niagando a bien voulu résoudre. Dans la voix de la représente des femmes, le souci majeur était celui de leur mosquée dont l’étroitesse, la chaleur et l’accessibilité constituent un grand problème. Dans son intervention, l’honorable député de la CODEM avait déjà validé les demandes de la population.
Pour l’honorable : « la politique ne se résume pas au mensonge, ceux qui sont entrés en politique par mensonge l’ont fait pour leur unique intérêt. Ceux qui se servent et ceux qui servent le peuple ne sont pas le mêmes. » Sous les acclamations de la foule, l’honorable a montré sa gratitude parce qu’il estime que ce sont les populations de la commune II l’ont élu député deux fois de suite. Pour lui, c’est une question de dignité et d’honneur. Il a débloqué 10 millions pour la réhabilitation de la mosquée. Pour lui, le travail qu’il fait à l’assemblée nationale lui rapporte tous ceux qui occupent d’autres fonctions en tirent profit autrement dit ils devraient démissionner.
Hady Niagandou est revenu sur son parcours de combattant, 4 ans d’aventure au Zaïre, en Zambie, au Zimbabwe et en Afrique du Sud. Il s’est engagé à aider les jeunes dans leur combat de sauvegarde de leur espace qu’il a même promis de l’aménager.