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Institut Polytechnique rural (IPR) : Le 1er semestre validé, les étudiants en congé depuis le 14 Mai
Publié le samedi 26 mai 2012   |  Le Flambeau




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Depuis le 14 mai dernier, les étudiants de l’Institut Polytechnique Rural (IPR) de Katibougou sont en congé. Ces vacances méritées interviennent après la validation du premier semestre. Si les étudiants des 1ères et 2èmes années bénéficient d’un repos inconditionnel, ceux du second cycle (3ème et 4ème année) consacreront la période au renforcement de leurs capacités dans d’autres structures.

Les cours, selon une source administrative très proche de l’établissement, ne devront pas reprendre avant le 18 juin prochain. En attendant le début du second semestre, les responsables, enseignants et étudiants profiteront, contrairement à leurs homologues des autres structures universitaires, de quelques semaines de repos. Un repos bien mérité, compte tenu de la stabilité qui règne au sein de l’établissement et du déroulement normal des activités pédagogiques. Il faut rappeler que l’IPR est la seule structure universitaire du genre dans le pays qui forme aux métiers de l’agriculture et de l’élevage. Même si l’année académique a démarré avec de sérieux problèmes, aujourd’hui l’institut a atteint sa vitesse de croisière d’où ce luxe (le congé) auquel aucune autre structure ne pourrait se permettre en ce moment. Approché par nos soins, pour recueillir ses impressions sur cette situation, le professeur Siaka Diarra s’est dit très heureux de la bonne marche des choses malgré les multitudes problèmes d’ordres interne et externe. ‘’Disons qu’en début d’année, nous étions légèrement inquiets mais aujourd’hui tout est rentré dans l’ordre’’, nous a confié notre interlocuteur.

Idrissa Kantao



CAMPUS UNIVERSITAIRE DE BADALA

Le Centre National des Œuvres Universitaires met des fontaines d’eau à la disposition des résidents

Depuis la rétrocession des campus au Centre National des Œuvres Universitaires par l’association des élèves et étudiants du Mali, la gestion des résidences universitaires a connu une bien meilleure organisation. Depuis lors, les responsables en charge de la question ne cessent de multiplier les actions pour l’amélioration des conditions de vie des étudiants. La mise à la disposition des résidents de fontaines d’eau est aujourd’hui un exemple de cet état de fait.

L’installation de ces fontaines d’eau a été accueillie avec beaucoup de joie et de satisfaction par les étudiants. Même s’ils étaient nombreux à concevoir la modestie du geste eu égard aux moyens dont dispose la structure et les préoccupations réelles auxquelles les étudiants sont confrontées, cette action du CENOU doit être saluée à sa juste valeur. Elle permettra non seulement aux étudiants de se rafraichir convenablement, mais donneront aussi à l’espace universitaire une fière allure. Tout en espérant que bon usage sera faite de ces fontaines par les bénéficiaires, force est de constater qu’elles sont venues trouver des problèmes d’équipements, de matériels, d’infrastructures, de transports… qui demeurent encore et toujours. A ceux-ci, il faudrait ajouter l’épineuse question de bancarisation qui semble s’empirer de jour en jour. Le CENOU est a félicité donc pour les fontaines qu’il vient d’offrir aux étudiants, même si d’autres préoccupations plus majeures sont sciemment déviées ou mises aux oubliettes.



TENUE DES EXAMENS PARTIELS A LA FSEG

Un bel exemple de sacrifice donné par l’administration et les étudiants

Les examens partiels de la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion de l’Université des Sciences Sociales et de Gestion de Bamako ont pris fin mardi dernier. Après maints reports suite aux récents évènements survenus sur le campus et l’arrêt des cours, le calendrier des examens partiels s’est déroulé normalement et sans incidents. Néanmoins, une évidence reste à souligner : c’est le bel exemple de sacrifice dont l’administration et les étudiants ont fait preuve en ne ménageant aucun effort pour la tenue de ces évaluations. Même les week-ends ont été sacrifiés pour ce faire.

‘’Face à des circonstances exceptionnelles, des mesures exceptionnelles s’imposent’’, dit-on couramment dans le langage juridique. C’est dans cet état d’esprit que les choses évoluent depuis le début de l’année académique dans la faculté de nos futurs économistes et gestionnaires. Après une reprise accélérée, des horaires de cours revus à la baisse et acceptés par les étudiants, la célérité de l’organisation des travaux pratiques, la parfaite collaboration entre les différents acteurs, la détermination sans faille et constante de l’administration…c’est la tenue des examens partiels, dans des conditions extrêmement difficiles, qui confirme la bonne santé de cette faculté. Selon une source proche du décanat, les résultats seront proclamés très bientôt et le calendrier des examens connu au plus tard dans 1 mois. Toujours selon la même source d’information, la volonté réelle de l’administration est d’anticiper les situations et éviter à la faculté une seconde année blanche. Toutes les actions en vue de sauver l’année et permettre aux étudiants de retrouver des années universitaires normales seront privilégiées.


FACULTES DE DROIT PRIVE ET DROIT PUBLIC DE L’USJPB

Les Travaux dirigés continuent pour certains étudiants, d’autres dans l’attente…

Les travaux dirigés, à l’Université du Professeur Salif Berthé, sont effectifs pour toutes les classes de 1ère et 2ème année. Que ce soit dans la faculté du Professeur Amadou Keita ou celle du Doyen Cheick Hamala Fofana, les constats diffèrent selon les classes. Tandis que d’autres continuent tant bien que mal, certains attendent toujours leur tour.

Si les étudiants en Licence de la Faculté de Droit Privé ont démarré la semaine dernière, ceux de la Faculté de Droit Public sont encore dans l’attente faute de salles de classe et devront être programmés pour la semaine prochaine. Quant aux étudiants en Maitrise (toutes facultés confondues), les programmations en vue du démarrage de leurs travaux dirigés seraient en cours. En plus de ces difficultés liées au manque d’enseignants et de salles de classe, d’autres problèmes ont été constatés dans le déroulement de ces activités pédagogiques. Il s’agit de l’absentéisme de certains professeurs, le manque de suivi et bien entendu le comportement de certains responsables qui ont d’ores et déjà commencé à affûter leurs armes pour dépouiller, en complicité avec certains enseignants, leurs camarades de leurs maigres ressources financières.

MAMOUTOU TANGARA

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