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Confidentiel Afrique accuse, Karim Kéita dément !
Publié le lundi 7 novembre 2016  |  Le Républicain
Contrôle
© aBamako.com par Androuicha
Contrôle démocratique du secteur de la sécurité
Bamako, le 23 juin 2015 à l`hôtel Salam. Sur initiative de l`Institut National Démocratique (NDI), les parlementaires venus du Burkina-Faso et du Niger ont échangé avec leurs homologues maliens sur la bonne gouvernance du secteur de la sécurité. (Photo honorable Karim Keita, pdt de la commission defense à l`AN)
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« Le fils du président IBK, Karim Keita Alias Katio se paye un immeuble de luxe à Dubaï à 4,5 milliards de Fcfa », selon un article publié le 4 novembre 2016. Sans précision sur les caractéristiques de l’immeuble, l’article indique qu’il est situé « dans un quartier chic de Dubaï ». Alors que l’auteur de l’article s’adjuge « nos investigations poussées auprès des milieux d’affaires avisés dubaïotes… », la révélation en ‘’exclusive’’ n’est pas assez soutenue.

Le Républicain pour recouper l’information auprès de qui de droit, a passé un coup de fil au « fils du président IBK », le député Karim Kéita, qui nous a gentiment renvoyé à son ‘’démenti’’ publié sur ses pages facebook et twitter. On peut y lire : « de nouvelles allégations font de moi, le propriétaire d'un immeuble à Dubaï. Je tiens à travers le présent tweet à démentir ces allégations. Je ne suis propriétaire d'aucun immeuble à Dubaï ou ailleurs dans le monde. Ces mensonges n'ont pour but que de me salir et ternir mon image ».

Outre cet article, depuis deux ans des rumeurs de placement de grosses sommes d’argent dans les Emirats arabes unis, plus particulièrement à Dubaï, circulent. « Des rumeurs relatives à des porteurs de valises et du placement dans des comptes bancaires offshore, à Monaco,

Luxembourg. Si cette information est exacte, elle interpelle tout le Mali, des plus hautes autorités au citoyen lambda, dans un pays ou plus de la moitié de la population vit au dessous du seuil de la pauvreté », assène un interlocuteur. Dans le cas où, ces informations ne seraient pas fondées, leurs auteurs doivent assumer l’obligation de se dédire comme ce fut le cas récemment d’une diffamation sur un homme politique malien qui était accusé d’une opération de transfère de 27 milliards de FCFA, de la BCEAO à Ecobank. On connait la suite.
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