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Règlement de compte dans l’armée de l’air : le colonel Néma Sagara, la bête noire de l’incompétent colonel-major Bamba
Publié le dimanche 13 novembre 2016  |  Le Dénonciateur
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Hier, le Colonel a passé dans la dignité avec tous les honneurs militaires et dignités, beaucoup de témoignages. Les biens faits d’une année de commandement nous ont été révélés par ses compagnons officiers, sous-officiers, hommes de rangs et familles militaires. Désormais, bon vent à la guerrière de Gao.




Jaloux, anxieux, se sentant menacé pour sa place, le chef d’Etat-major de l’Armée de l’Air, le col major Bamba n’a laissé aucune occasion d’évolution professionnelle à Nema Sagara, encore moins des potentiels de développement à la base 100 de Bamako. C’était plus tôt une rivalité totale, comme s’il était menacé par les compétences Nema.
Sollicité pour venir mettre de l’ordre à la base 100, Bamba a eu la malchance de réussir cette mission. Cette réussite a complètement tourné son chef contre lui et même d’entreprendre une lutte infernale pour l’expulser de la base. Le chef d’état-major, au départ, ayant eu une difficulté pour la faire partir, a confié à son staff qu’il mettra ses galons en jeu.
Mais, tout le monde se demande ce que le col lui a fait. Pourtant, beaucoup d’officiers supérieurs de l’Armée de l’air disent tout le temps qu’on peut, ne pas aimer le col Nema, mais il est évident, pour tout le monde, qu’elle ne travaille pas dans le strict règlement.
La preuve est plausible les hommes et les femmes sont motivés et affirment que leur moral est au beau fixe. Tous souhaitent que le col reste avec eux, car, disent-ils, ils comprennent maintenant leur mission. «Pendant qu’elle est admirée dans l’exécution de sa mission par la troupe, son chef, le col major Bamba ne veut même pas entendre parler d’elle et développe une haine noire contre elle et par conséquent, tente de ternir son image partout où il passe, mais qu’il sache que l’évidence est un soleil qui brille. Et au beau jour, personne ne peut l’empêcher d’éclairer, car c’est l’Eternel qui nous commande», soutiennent-il.
Même les anciens commandants de la base serait venus pour ceux qui pouvaient, ou ont appelé le col Sagara pour le féliciter. Ils ont tous confirmé que Néma travaille immensément dans la base, car tout a changé. Contrairement aux autres, le col-major Bamba affichait des attitudes de méfiance et désapprouve toute action posée par elle. Il s’est senti en insécurité qui paraissait étrange aux yeux des autres.
Le col a subi des réprimandes publiques en présence de ses subordonnés sur des détails à propos de l’ordre secret. Ce n’était que des reprochables normalement destinés à des hommes de troupe.
Le col-major Bassa a donné mission à certains membres de son staff de surveiller et de lui rendre compte de toutes les activités au sein de la base. Selon ce qu’ils lui rapportent, il donne des instructions pour bloquer tout et entre dans des mesquineries pas indignes d’un chef d’état-major.
Le commandant de base par intérim dont, il a juré ne jamais confirmer, devient visiblement son ennemi à abattre. Il ne lui adresse même pas une lettre pour la sommer d’arrêter d’apporter de l’aide provenant du milieu civil dans la base.
Le col major a presque oublié son statut, car il menait une lutte infernale pour que le commandant de base. Le ministre Tieman Hubert avait toujours refusé sa demande et cela, malgré le coup de main sournois du général Adama Dembélé à accomplir cette mission.
Par ailleurs il chante partout qu’il y a un deal entre le ministre et lui. Pis, que Karim le fils du président est son intime ami, alors que son papa l’admire autant. Le colonel major Bamba pense qu’il suffit d’être ami à l’honorable Karim Keita, non moins président de la Commission de la défense pour cacher sa carence et son incompétence, quelle bassesse au sein de notre armée. Les gens ne sont plus choisis en fonction de leurs compétences, mais plutôt du copinage ou de la famille.
Le col Nema Sagara a subi trop la haine terrifiante du col-major Bamba. Il l’a farouchement combattue. N’eût été sa force de caractère, elle serait mentalement diminuée.
Nous avons un moment pensé que le chef d’état-major allait décapiter le commandant de base après les appréciations et les félicitations du président de la République, Ibrahim Boubacar Keita. Il eut encore plus une haine viscérale que personne ne s’expliquait. Les gens n’ont pas compris les appréciations du père de son ami lui descendre sa foudre sur la brave dame du Président de la République.
Le col-major Bamba devrait pourtant savoir que le col a une force de caractère inébranlable et que sa volonté de l’humilier va encore l’endurcir.
Néma a de beaucoup jours devant elle, car elle a la confiance de la troupe et du peuple entier. Ses mérites sont volontairement reconnus à Gao, pendant que son chef Bamba se cachait derrière la junte à Kati. Vive la vérité au sein de l’armée malienne. À bon entendeur, salut !

T. Tang.
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