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Élection municipale à Pelengana : Le retour de Yamoussa Coulibaly
Publié le lundi 14 novembre 2016  |  yeko
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Qui a Pelengana ne connaît pas Yamoussa Coulibaly ? Natif de cette Commune, Yamoussa Coulibaly est né un 14 février 1949.
Enseignant, il gravit tous les échelons pour devenir professeur. Il fit ses premières armes dans la politique avec le parti Adema avec l’avènement de la démocratie dans notre pays. Lors des premières élections municipales, Yamoussa fut plébiscité par les populations de la Commune rurale pour conduire leur destinée.

Ce mandat sera d’ailleurs renouvelé en 2004. Avec l’implosion de l’Adema, M. Coulibaly regagna les rangs de l’Union pour la République et la démocratie (URD) avec tous ses camarades de lutte.

Premier à gérer la Commune rurale de Pelengana, Yamoussa a, à son actif beaucoup de réalisations parmi lesquelles on peut citer : la construction du siège de la mairie, du Centre de santé communautaire de Pelengana Sud, la salle de spectacle de Pelengana, la construction et la réfection de salles de classes dans la Commune ainsi que dans beaucoup de villages, la construction de routes latéritiques et de pistes rurales, l’aménagement de périmètres maraîchers, la réhabilitation de puits, l’installation de forages, la construction de bibliothèque et de salles d’archive et enfin la construction d’un Centre culturel à Pelengana.

Compte tenu de ce bilan élogieux, Yamoussa fut sollicité par ses paires pour conduire une liste de 29 personnes dont 11 femmes.

Les 29 candidats sont repartis entre 11 des 27 villages de la commune. Les Peleganois auront-ils confiance de nouveau à Yamoussa ? Attendons le 20 novembre.

Daouda Coulibaly



Élection communale à Pelengana

Dantoumin Dembélé, le vrai outsider

Dantoumin Dembélé est celui qui conduit le bateau du parti du Tisserand pour atteindre la mairie de la Commune rurale de Pelengana avec 29 personnes dont 10 femmes.

Né vers 1966 à Ségouna, Dantoumin Dembélé est un enseignant du secondaire. En optant pour le poste de maire de Pelengana, M. Dembélé entend apporter son savoir-faire pour le développement de la Commune. Aussi, il entend faire un lobbying auprès des plus hautes autorités du pays qui sont du même bord politique que lui pour la réalisation de grandes infrastructures.

Militant de première heure du parti du Tisserand, Dantoumin Dembélé a gravi tous les échelons du parti. De son comité, il a passé à la sous-section comme secrétariat général adjoint avant d’être plébiscité secrétaire général. Il est aussi membre de la section du Rassemblement pour le Mali de la région de Ségou.

Homme discret, Dantoumin se fait valoir par le travail bien fait. C’est à l’unanimité que le parti du Tisserand à Pelengana l’a choisi comme tête de liste et cela à deux reprises. M. Dembélé une fois élu, entend donner une nouvelle impulsion à la gouvernance et à la gestion des affaires de la Commune. Aussi, il envisage de résoudre de façon définitive l’épineux problème d’évacuation des eaux de pluie dans la comme rurale de Pelengana.

Daouda Coulibaly



Élection municipale à Ségou

Nouhoum Diarra à la conquête de l’hôtel de ville

Celui sur qui le parti du Tisserand a fait son choix pour porter sa liste dans la Commune urbaine de Ségou, n’est pas un novice en politique, malgré son jeune âge.

Né le 25 juin 1970 à Molodo, Nouhoum Diarra peut être considéré comme un vieux de la vieille garde de la politique ségovienne. Il fut membre du conseil communal de la commune urbaine de Ségou depuis les années 1998.

De 1999 à 2003 Nouhoum Diarra devient le premier vice-président du conseil de cercle de Ségou. De 2004 à 2009. M. Diarra renouvela son mandat de conseiller et sera élu 2eadjoint au maire de la Commune urbaine de Ségou chargé du foncier et du cadre de vie.

Candidat malheureux au 2e tour des élections législatives de 2007, Nouhoum Diarra est depuis 2009 à nos jours, membre du conseil communal et président de la commission des finances.

Son ambition est de faire de la Commune urbaine de Ségou, un modèle de bonne gouvernance dans la légalité.

La défense des droits des femmes et des couches vulnérables est en point de mire dans son combat. S’il est élu maire de la Commune urbaine de Ségou, il entend garantir l’insertion socio professionnelle par la création de petites et moyennes entreprises. Car, selon Ba Nouhoum, les jeunes sont l’avenir du pays. Il projette, la construction de plus de routes dans les quartiers de Ségou, des caniveaux pour l’évacuation des eaux usées.

Albert Kalambry

COMMUNALES A SEGOU

Madani Niang à la conquête de la mairie

Né le 30 juin 1954 à Ségou, Madani Niang, militant URD ; est dans les starting blocs pour la conquête de la mairie de segou.

Né le 30 juin 1954, il obtient son Bac en 1976 pour ensuite décroché en 1983 à l’Ecole normale supérieure de Bamako un diplôme en maîtrise en français langue et littérature.

Dans sa carrière d’enseignant, il servira au lycée Cabral de Ségou et au lycée de Nioro. Plus tard, il fait le choix de quitter l’enseignement au profit du tourisme, étant parti à l’Office malien du tourisme et de l’hôtellerie (Omatho) pour être chef de bureau régional de 2004 à 2011. Sur décision du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, il est mis de nouveau, à la disposition dudit ministère où il est depuis 2012, le chef des ressources humaines à l’université de Ségou.

Madani Niang a été militant du RPM, mais il démissionne pour rejoindre l’UDD. Là, les militants du parti font confiance en lui et le placent tête liste des candidats UDD à l’élection municipale du 20 novembre.

Niang a été chef du quartier de Hamdallaye Ségou et plusieurs fois conseiller municipal de la Commune de Ségou. Il est le 3ème adjoint au maire de Ségou.
Rassembleur puisqu’il est membre fondateur des associations Solidarité handicap, Baara damu, Association actions civiques, M Madani Niang entend une fois élu maire de la Commune urbaine de Ségou, créer les ressources nécessaires pour donner plus d’éclat à la ville de Ségou et aussi faire de Ségou la ville la plus enviée du Mali.

Albert Kalambry

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